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Que se passerait-il si vous pouviez tripler la vitesse d'apprentissage des élèves ? Selon les recherches du professeur John Hattie, un fort sentiment d'efficacité collective des enseignants peut permettre de réaliser plus de trois années de progression des élèves en une seule année scolaire. L'un des facteurs les plus influents sur l'apprentissage et la réussite des élèves, l'efficacité collective des enseignants est la conviction que, ensemble, les éducateurs peuvent avoir un impact positif sur l'apprentissage. Lorsque cette efficacité est élevée, les enseignants font preuve d'une plus grande persévérance et sont plus enclins à essayer de nouvelles approches pédagogiques, surtout dans les environnements d'apprentissage virtuels !

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John Hattie, PhD, est un chercheur en éducation primé et auteur à succès, avec près de trente ans d'expérience dans l'étude des méthodes les plus efficaces pour l'apprentissage et la réussite des élèves. Ses recherches, mieux connues sous le nom de "Visible Learning", sont le fruit de près de trente ans de synthèse de plus de 2 100 méta-analyses, regroupant plus de cent mille études impliquant plus de 300 millions d'élèves à travers le monde. Il a présenté et donné des conférences principales dans plus de trois cents conférences internationales et a reçu de nombreuses distinctions pour ses contributions à l'éducation. Ses publications notables incluent "Visible Learning", "Visible Learning for Teachers", "Visible Learning and the Science of How We Learn", "Visible Learning for Mathematics, Grades K-12" et "10 Mindframes for Visible Learning".

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Comment l’intelligence artificielle générative (IAg) de texte peut-elle aider les enseignants? Quels sont les enjeux soulevés et à quoi doit-on préparer nos élèves? Quel effort et quel travail faut-il fournir pour rejoindre, grâce à l’IAg, un maximum d’apprenants aux besoins différents? Utopie, panacée ou vague promesse? Si l’IAg dégageait du temps en nous soulageant de certaines tâches, qu’en ferions-nous?

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Sylvain Desautels est titulaire d’une maitrise en éducation (technologies éducatives). Après avoir été le technopédagogue de Chenelière Éducation, il est maintenant en charge de l’équipe Soutien et accompagnement au Pôle d’expertise interordres en formation à distance. À son compte, il propose des accompagnements en évaluation des apprentissages, à propos des enjeux liés à l’IA générative ou de la santé attentionnelle des apprenants, en vulgarisant les découvertes en neuroéducation.

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La pandémie de Covid-19 a entrainé des répercussions importantes chez les élèves sur plusieurs plans, notamment en ce qui concerne la gestion des émotions et la compétence à communiquer oralement. De plus, la présence de plus en plus grandissante des technologies dans la vie des élèves les amène à avoir un rapport différent à la communication orale en classe et hors de celle-ci. Sachant cela, peut-on enseigner l’oral de la même façon qu’avant la pandémie? Quels sont les besoins des élèves de la fin du primaire et du secondaire en ce qui concerne la compétence à communiquer oralement? Après avoir brossé un bref portrait des élèves en ce qui a trait aux répercussions de la pandémie de Covid-19, des astuces et des obstacles à la communication seront présentés ainsi que des façons de les travailler avec les élèves de la fin du primaire et du secondaire afin de développer leur compétence à communiquer oralement en classe et hors de celle-ci. L’oral pragmatique, une approche didactique qui consiste à développer la capacité des élèves à communiquer oralement tout en assurant une communication harmonieuse, sera au cœur de cette communication. Des exemples concrets issus de la pratique d’enseignantes seront présentés ainsi qu’une ressource en ligne accessible gratuitement et donnant accès à du matériel utilisé pendant la communication.

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Christian Dumais Ph. D. est professeur titulaire de didactique du français à l’Université du Québec à Trois-Rivières et codirecteur de comité de programmes de premier cycle en éducation préscolaire et petite enfance. Ses champs d’intérêt professionnels concernent le développement des compétences en littératie, la didactique de l’oral, les apports du jeu de faire semblant, le développement du langage des enfants de 4 et 5 ans ainsi que la compétence à communiquer oralement du personnel scolaire.

Emmanuelle Soucy Ph. D. est professeure de didactique du français à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Ses intérêts de recherche concernent principalement la didactique du français, particulièrement l’articulation de la lecture, de l’écriture et de l’oral au moyen de la littérature jeunesse.

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Apprendre à enseigner la syntaxe et la ponctuation (S-P) représente un défi important pour le développement professionnel tant au primaire qu’au secondaire. En effet, des études montrent que les élèves commettent plusieurs erreurs de S-P tout au long de leur parcours scolaire obligatoire (par ex. : Boivin et Pinsonneault, 2018). Or, les conditions organisationnelles actuelles favorisent peu la formation continue (pénurie de personnel, journées pédagogiques dédiées, etc.). Notre équipe de recherche a donc fait le pari de proposer une autoformation numérique pour apprendre à enseigner la syntaxe et la ponctuation à l’aide de dispositifs innovants. Non seulement des contenus linguistiques sont proposés pour développer une conception de la notion de phrase transférable pour les élèves en écriture (par ex. : phrase graphique, phrase syntaxique), mais des gestes pédagogiques sont également décrits pour favoriser les interactions en classe, la réflexion métalinguistique et l’utilisation d’un métalangage précis qui permettent aux élèves de mieux s’approprier les savoirs à réutiliser en contexte d’écriture (Nadeau et Fisher, 2006). Cet atelier présentera la séquence didactique proposée (Nadeau et al., 2020) et explicitera comment accéder à l’autoformation pour poursuivre la réflexion. NOTE : Cet atelier reprend essentiellement les mêmes notions que l’atelier offert en 2024.

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Marie-Hélène Giguère a d'abord été enseignante de français avant de devenir conseillère pédagogique (CP) de français. Ses études à la maitrise et au doctorat l'ont menée au département d’éducation et formation spécialisées de l’UQAM au sein duquel elle œuvre depuis 2015. Elle s’intéresse aux difficultés des élèves en lecture et en écriture avec un intérêt particulier pour la grammaire. Ses recherches portent également sur le développement professionnel des enseignantes, orthopédagogues et CP.

Rosianne Arseneau est professeure associée au Département de didactique des langues de l’Université du Québec à Montréal. Elle s’intéresse à l’enseignement-apprentissage de la grammaire, et en particulier de la syntaxe-ponctuation, et de l’écriture chez les élèves du primaire et du secondaire et à l’intégration d’outils numériques d’apprentissage dans une perspective didactique.

Claude Quevillon Lacasse est professeure adjointe à la Faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa ; elle a complété un doctorat en éducation et une maîtrise en didactique des langues à l’UQAM. Elle est également l’actuelle présidente de l’Association québécoise pour l’enseignement du français langue seconde (AQEFLS). Elle s’intéresse à la didactique de la grammaire et de l’écriture, notamment par la littérature jeunesse, à la didactique intégrée des langues et au développement professionnel.

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L’inclusion des élèves présentant un TDAH représente un défi majeur pour le système éducatif, en particulier à l'adolescence, période charnière de développement. Les barrières sont multiples : stigmatisation, méconnaissance du trouble, formations insuffisantes des enseignants, manque de ressources adaptées, et difficultés à mettre en œuvre des aménagements pédagogiques spécifiques. Ces obstacles empêchent souvent une inclusion véritable, reléguant les élèves TDAH à une position marginale. Cette intervention propose de mettre en lumière ces défis tout en présentant des outils pédagogiques universels, visant à améliorer la gestion en classe et à soutenir ces élèves. Nous discuterons de stratégies concrètes pour une école réellement inclusive, capable de répondre aux besoins diversifiés de tous les élèves, avec un focus particulier sur les adolescents, afin de favoriser leur réussite scolaire et leur bien-être.

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Diplômé d’un Master en sciences psychologiques à l’Université de Mons, j’ai poursuivi avec un diplôme universitaire sur le diagnostic et la prise en charge du TDAH à l’Université Paris Descartes. Actuellement, je suis formateur, vulgarisateur et superviseur de professionnels de santé dans le domaine de la santé mentale.

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Les documentaires jeunesse foisonnent, les élèves les affectionnent et les personnes enseignantes veulent les connaitre davantage afin de mieux les intégrer dans leur pratique quotidienne. S’il est clair que les documentaires jeunesse ont pour principale visée d’informer sur tous les sujets, il ne faut pas oublier qu’ils se présentent sous des formes variées. Comment s’y retrouver? Comment aider les élèves à choisir les bons documentaires en fonction de leur intention de lecture? Comment actualiser différentes stratégies de lecture avec ces livres? Les participant.es à cet atelier apprendront (re)connaitre différents documentaires (p. ex., livres de mise en action, livres de records, albums documentaires) afin d’offrir des expériences de lecture variées aux élèves. Les types de textes et les aides organisationnelles du texte (p. ex., sous-titres) et les aides organisationnelles de l’ouvrage (p. ex., sommaire) seront aussi abordés par des exemples concrets dans le but d’outiller les participant.es par rapport à l’enseignement des stratégies de lecture. Est-ce que les élèves lisent pour trouver des informations précises sur la reproduction du pissenlit? Pour apprendre à faire un gâteau? Pour rigoler à propos de faits surprenants? Voilà des intentions de lecture différentes qui requièrent des documentaires variés et qui demandent de déployer des stratégies de lecture diversifiées!

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Rachel DeRoy-Ringuette est professeure en didactique de la lecture et de l’écriture au primaire à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Elle s’intéresse aux livres jeunesse depuis le milieu des années 2000 et elle a écrit plusieurs articles sur le sujet dans des revues culturelles, professionnelles et scientifiques. Depuis 2017, elle signe la chronique « Dans l’univers du documentaire » dans la revue Le Pollen. Elle a récemment publié un album intitulé "Instants de couleur" (Québec Amérique).

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Apprendre à produire des phrases bien construites et bien délimitées n’est pas chose aisée pour des élèves entamant leur scolarité primaire, surtout lorsque l’orthographe des mots et la calligraphie ne sont pas encore maitrisées. Or, est-ce que l’apprentissage du concept même de phrase peut être à la portée des élèves de cet âge ? Tout à fait ! Lors de cette conférence, je brosserai un portrait des conceptions de la phrase d’élèves de 1re année. Par la suite, pour que les élèves puissent donner du sens au mot « phrase » et développer des conceptions justes et transférables en écriture, je présenterai le modèle de la phrase à deux pattes de Gagnon et Péret (2016), un outil au service de l’apprentissage de la notion de phrase. Finalement, des pistes d’évaluation et d’activités d’enseignement concrètes, ayant été expérimentées dans le cadre d’une recherche doctorale, viendront clore cette conférence.

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Marie-Neige Senécal est présentement candidate au Ph.D. en éducation à l’UQAM. Elle intervient à titre de chargée de cours au baccalauréat en adaptation scolaire et sociale ainsi qu’à la maitrise en orthopédagogie. Elle cumule plusieurs années d’expérience comme enseignante de français au secondaire, orthopédagogue, consultante et formatrice. Ses intérêts de recherche portent sur la didactique et l’orthodidactique de la grammaire et de l’écriture ainsi que sur la réflexion métalinguistique.

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De nombreux élèves en difficulté en mathématiques parviennent à réaliser des calculs, mais se retrouvent souvent bloqués face à un problème écrit. Cette difficulté s’explique par la différence notable entre les types de raisonnement mathématique requis pour ces deux types d’exercices. En effet, une fois le calcul appris, il ne nécessite plus d'analyse des relations entre les données, ce qui est pourtant toujours indispensable dans un problème textuel. L’élève, s’il n’est pas habitué à analyser un texte pour y repérer les relations logiques et clarifier la structure mathématique sous-jacente, peut se sentir perdu. Mais par où commencer l'apprentissage de cette analyse logique des problèmes? Comment représenter et discuter cette logique? Nos expérimentations ont montré que l’analyse syntaxique de certaines phrases du problème, combinée à l'utilisation de la pâte à modeler pour représenter ces relations de manière visuelle et concrète, donne des résultats encourageants. Nous invitons donc les participants à mettre « la main à la pâte » et à explorer cette approche innovante pour analyser et représenter les problèmes écrits en mathématiques.

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Elena s'intéresse à diverses théories liées à l'apprentissage des mathématiques et elle a de l'expérience dans l'enseignement des mathématiques à tous les niveaux scolaires avec des élèves en difficulté. Elle est convaincue que le plaisir de faire des mathématiques vient du pouvoir de la compréhension. Actuellement, Elena mène des recherches inspirées de la théorie de l’instruction développementale de Vassili Davydov affirmant que la pensée mathématique est accessible à tous.

Pascale est une orthopédagogue passionnée, qui œuvre dans le milieu de l'éducation depuis 2016, et chargée de cours à l'UQO. Elle est détentrice d'une maitrise en orthopédagogue (M. Éd.). Dans le cadre de son projet de recherche, elle s'est penchée sur la compréhension des problèmes mathématiques des élèves en difficulté, notamment par le développement de leur métacognition et de leur pensée relationnelle.

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Évaluer la compétence à lire d’un élève exige de récolter des traces variées qui rendront réellement compte de ses habiletés. L’entretien de lecture est un accès privilégié aux réflexions des lecteurs en apprentissage. Par l’observation et la discussion, il permet de juger des habiletés en lecture et de soutenir tous les élèves. Dans cette conférence, découvrez l’entretien de lecture, une pratique d’évaluation et d’apprentissage inclusive permettant à tous les lecteurs de se révéler. Aussi, repartez avec un bagage d'outils vous permettant de mieux soutenir les élèves à la lumière de vos entretiens.

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Diplômée de l’UQAM en enseignement préscolaire et primaire, Catherine enseigne depuis 2013 au centre de services des Patriotes. En 2017, elle obtient un DESS en didactique du français à l’UdeM afin de parfaire ses connaissances et ses pratiques en regard de la littérature jeunesse. Avec l’équipe de J’enseigne avec la littérature jeunesse, elle a coécrit l’ouvrage Demain, j’enseigne avec la littérature jeunesse paru chez Chenelière, publié plusieurs articles et animé de nombreuses formations.

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Dans plusieurs milieux, l’absence est un enjeu qui apporte son lot de défis au quotidien : suivi des élèves, engagement scolaire, persévérance, motivation du personnel, etc. Et si on voyait l'absence comme un symptôme plutôt qu'un problème ? L'atelier permettra de s''interroger sur les causes d'absence et d'en découvrir les besoins non comblés des élèves. De plus, l'atelier proposera des pistes mises en oeuvre par les intervenants de partout au Québec s'étant interroger sur ce problème et ayant trouvé diverses solutions pour augmenter la présence active des élèves.

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Karine est une véritable passionnée de pédagogie. Très active dans plusieurs associations, elle collabore avec le Ministère de l'éducation et différentes universités pour accompagner les centres de formation dans l'amélioration des interventions pour les élèves ayant des besoins particuliers. Vulgarisatrice engagée, elle a à coeur la réussite de chaque élève et croit au potentiel de l'école. Karine collabore depuis plusieurs années avec l'Institut TA.

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Enseigner à l'éducation des adultes en 2025 nécessite que tous les acteurs du réseau prennent en compte les différentes sphères de la vie de chaque élève afin de bien le soutenir dans son parcours. Mettre en place des stratégies et des mesures adaptatives est essentiel, mais si nous allions plus loin dans nos réflexions? Et si l'inclusion devenait une composante intégrante de notre quotidien? Cet atelier, soutenu par les résultats de la recherche, se veut une réflexion et une mise en commun de concepts clés à considérer dans l'éducation d'une clientèle adulte.

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Lucie Tremblay fait partie de l’équipe nationale des services éducatifs complémentaires en tant qu’orthopédagogue. Forte de plus de 12 ans d’expérience avec des adultes ayant des besoins particuliers, elle soutient maintenant les centres de formation des commissions scolaires anglophones. Bien qu’elle soit moins en salle de classe, Lucie reste engagée à considérer l’élève adulte dans sa globalité, en tenant compte de ses difficultés scolaires et des divers aspects de sa réalité.

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Les fonctions exécutives (FE) désignent des processus cognitifs complexes, dont les composantes essentielles sont la mémoire de travail, le contrôle inhibiteur et la flexibilité mentale. Fondamentales pour la régulation intentionnelle de l’attention, de la pensée et des actions, les FE permettent à l’apprenant de raisonner, de planifier, de se concentrer et d'inhiber les interférences ainsi que les comportements inappropriés pour atteindre un objectif. Cette conférence a pour objectif d’explorer le rôle central des fonctions exécutives dans le développement et l’apprentissage, en mettant l'accent sur l'importance de la mémoire de travail et du contrôle inhibiteur dans divers apprentissages scolaires. Des exemples concrets seront présentés et discutés à travers différentes disciplines et groupes d’âge. Enfin, des pistes d’intervention seront proposées pour soutenir la mobilisation des FE chez les apprenants. À cette fin, les résultats de diverses études seront abordés afin d’identifier les repères les plus pertinents pour la pratique.

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Lorie-Marlène Brault Foisy est professeure à la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Montréal. Elle s’intéresse principalement aux processus cognitifs et cérébraux liés au développement, à l’apprentissage et à l'enseignement. Ses travaux s’inscrivent dans la perspective qu’une meilleure compréhension de ces processus peut apporter un éclairage supplémentaire quant aux stratégies pédagogiques à privilégier pour favoriser le développement et l'apprentissage.

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In 1943, when Leo Kanner published his ground breaking article on autism, he choose to give it the title “Autistic disturbances of affective contact’, putting emotions right in the centre of his concept of autism. Eight decades later, the question remains important: how do autistic children get in touch with their emotions (and those of the people around them) and how can we help them to navigate the jungle of emotions. In our presentation we will try to make clear, with examples and illustrations, that cognition and emotion are inextricably linked to each other and that the ‘autistic thinking’ has a significant impact on the way an autistic brain understands and processes emotions. We will explain why very popular interventions and tools, like emotion thermometers, are not always a good way to help children with their emotions. And we will describe ways to communicate about emotions in an autism friendly way.

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Dr. Peter Vermeulen, PhD in Psychology and Clinical Educational Sciences, has more than 35 years of experience in the field of autism. Founder of “Autism in Context”, where autism is understood in context. Peter is an internationally respected lecturer/trainer and he presents all over the world. Peter wrote more than 20 books and several articles on autism, translated into more than 10 languages. For his +35 years of work in the field of autism, he received in 2019 a Lifetime Achievement Award.

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Cette présentation abordera quatre stratégies de résilience propres aux grands résilients. Ces stratégies, qui s’avèrent particulièrement utiles lorsqu’il s’agit de composer avec l’incertitude et l’instabilité, vont au-delà des trucs et astuces. Pour atténuer l’anxiété et la détresse associées aux enjeux existentiels inhérents à la condition humaine, les grands résilients ont en fait recours à des postures cognitives, psychologiques et philosophiques bien spécifiques qu’ils cultivent de façon soutenue. Dans l’éventail des possibilités, la présentation retiendra 4 stratégies plus pertinentes pour débuter un processus de résilience et les décortiquera à l’aide d’exemples vécus.

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Docteure en psychologie, ergothérapeute et Officier de l’Ordre du Canada, Rachel est spécialiste en résilience psychologique, réadaptation à base communautaire et soutien entre pairs. Depuis 45 ans, tant comme clinicienne que formatrice et chercheure, elle intervient dans les contextes complexes telles les guerres, catastrophes naturelles et pandémies. Professeure à la retraite de l’Université d’Ottawa, Rachel travaille maintenant comme consultante auprès d’une vaste gamme d’organisations.

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Au travers des principes de permaculture , Docteure Lamy propose des outils de réflexion pour réenchanter et repenser l'école, afin qu'elle soit un lieu d'épanouissement de nos petites pousses. Jardin permaculturel ne rime pas avec chaos ni absence de structure bien au contraire: de la posture du jardinier à la connaissance de la diversité de chaque petite pousse et de ses besoins , c'est tout un chemin qu'elle vous proposera de suivre, en chaussant vos bottes!

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Docteure Céline Lamy est pédopsychiatre dans les Laurentides et sur la Côte Nord; elle est professeure adjointe à l'université de Montréal et autrice. Elle a récemment publié l'essai: Le Drame des enfants parfaits, pour une permaculture de l'enfance aux éditions Atelier 10. Elle milite au travers de son collectif, L'enfance n'est pas une maladie, pour revenir aux besoins fondamentaux des enfants afin de sortir de ce qu'elle nomme l'agriculture intensive de l'enfance. Elle a 4 enfants.

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Jean-Philippe Ayotte-Beaudet est professeur à la Faculté d'éducation de l'Université de Sherbrooke et titulaire de la Chaire de recherche sur l'éducation en plein air. Ses principales activités de recherche portent sur l'éducation scientifique et sur l’éducation en plein air au primaire et au secondaire. Ses travaux ciblent plus particulièrement l'effet des contextes d'enseignement sur la qualité des apprentissages, afin que les élèves vivent des expériences signifiantes à l'école.

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Que l’on parle d’inclusion, d’apprentissage, de motivation ou d’engagement, trop souvent, l’adulte pose un regard sur la situation d’un élève avant de déterminer le meilleur plan d’action à mettre en œuvre, pour elle ou pour lui. Cette conférence invite les acteurs et actrices de l’éducation à s’approprier la voix des jeunes [pupil’s voice] dans les réflexions pédagogiques les concernant. On y découvrira la valeur ajoutée de leurs voix dans la résolution de problèmes en éducation, dans la mise en action de projets pédagogiques, et dans le développement de pratiques plus inclusives. Faites de vos élèves des alliés!

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Nadia Rousseau est professeure titulaire au Département des sciences de l’éducation à l’Université du Québec à Trois-Rivières et directrice du RÉVERBÈRE (Réseau de recherche et de valorisation de la recherche sur le bien-être et la réussite en contexte de diversité). Ses recherches portent sur la qualité de l’expérience scolaire et la connaissance de soi d’une diversité d’élèves, la pédagogie inclusive, et les facteurs clés favorisant l’engagement scolaire des jeunes.

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De nos jours, de nombreux élèves bi/plurilingues fréquentent les écoles francophones à travers le Québec. À titre illustratif, en 2021-2022, 25,8 % des élèves déclaraient une langue maternelle différente du français, avec 213 langues maternelles différentes déclarées à travers la province (Borri-Anadon et al., en préparation). Parmi ces élèves, plusieurs sont ceux qui développent leurs compétences en français, langue de scolarisation, en tant que langue additionnelle, c’est-à-dire après avoir fait l’expérience de l’apprentissage d’une ou plusieurs autres langues. La compréhension des grandes étapes du développement d’une langue additionnelle s’avère une condition nécessaire pour que les enseignantes des classes d’accueil, de soutien linguistique et des classes ordinaires ainsi que le personnel professionnel (ex. : orthopédagogue) puissent bien accompagner ces élèves bi/plurilingues. Dans cette présentation, nous aborderons donc quelques repères pour comprendre les jalons du développement d’une langue additionnelle ce qui permettra, notamment, d’apporter quelques éléments de réflexion pour clarifier ce qui appartient à ce processus et ce qui relève d’autres difficultés pouvant être rencontrées par l’élève. Des exemples concrets seront donnés et différentes pistes de ressources seront proposées.

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Catherine Gosselin-Lavoie est professeure au Département de didactique de l’Université de Montréal. Ses intérêts de recherche portent sur le développement langagier oral et écrit au préscolaire et au primaire, notamment au moyen d’approches plurilingues de la littérature de jeunesse. Elle s’intéresse également à l’apport des collaborations école-famille dans le développement langagier en milieu pluriethnique et plurilingue.

Corina Borri-Anadon est professeure titulaire au Département des sciences de l’éducation de l’UQTR, directrice du Laboratoire Éducation et Diversité en région. Orthophoniste de formation, elle a œuvré en milieu scolaire et en CLSC en contexte pluriethnique, plurilingue et défavorisé. Ses travaux portent notamment sur l’inclusion/exclusion des apprenantes et apprenants plurilingues, issus de l’immigration, racisés ou autochtones en contexte scolaire, en formation initiale et continue.

Catherine Maynard est professeure au Département de didactique des langues de l’Université du Québec à Montréal. Elle s’intéresse à la didactique du français en milieu pluriethnique et plurilingue, notamment en ce qui a trait à l’enseignement de l’écriture, de l’orthographe et de la grammaire au moyen d’approches plurilingues.

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L’approche CAA propose que la motivation des élèves est de meilleure qualité (plus autodéterminée) lorsque l’environnement dans lequel ils apprennent et développent leurs habiletés soutient leur Compétence, leur Autonomie et leur Appartenance, d’où l’acronyme CAA. Selon les résultats de plusieurs recherches, cette approche serait souhaitable pour tous les élèves, y compris ceux qui sont plus âgés ou encore ceux qui rencontrent des difficultés d’apprentissage. Dans cette conférence, je souhaite aborder en profondeur l’approche CAA. À la suite d’échanges avec le personnel scolaire, mon équipe et moi avons développé une typologie des pratiques CAA les plus prometteuses à mettre en place pour favoriser la motivation des élèves. Cette présentation se veut concrète afin que les personnes qui l’écoutent puissent mobiliser l’approche CAA efficacement auprès des élèves. Des exemples de cas sont fournis et ensuite des solutions sont proposées à partir l’approche CAA.

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Frédéric Guay est professeur à l’Université Laval depuis 1998. Il est titulaire de la chaire de recherche du Canada en motivation, persévérance et réussite scolaires. En 2016, il a reçu une mention du comité Whitworth pour sa contribution à la recherche en éducation au Canada. Enfin, il a élaboré une formation professionnelle destinée au personnel enseignant qui vise à mobiliser la motivation des élèves.

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L’intervention au quotidien avec les enfants ayant des défis comportementaux est un travail qui demande à la fois de la constance et de la cohérence. À travers nos multiples interventions faites de façons bienveillantes et dans l’intérêt de l’élève, il n’en demeure pas moins que dans certains moments, on doit s’arrêter et prendre le temps de penser à ce qu’on peut faire d’autre pour aider notre élève. Je vous propose, dans cette conférence, de prendre le temps de vous arrêter, d’observer ce que vous faites au quotidien avec votre élève qui fonctionne déjà (parce que, oui, il y en a qui fonctionnent !) Et de repartir avec des pistes de solutions à essayer. Il sera aussi question des interventions de prévention de la crise, de sa gestion, mais également des interventions à mettre en place par la suite (la postvention). Le tout en restant le plus près possible du « terrain ».

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Titulaire d’un DEC en éducation spécialisée, je suis éducatrice spécialisée depuis les 13 dernières années en milieu scolaire. J’ai principalement travaillé avec des élèves de niveau primaire ayant des difficultés comportementales. Lors de mon parcours, j’ai aussi travaillé en formation professionnelle. En février dernier, accompagnée par les services éducatifs complémentaires en FP-FGA, j’ai animé mon premier webinaire intitulé : « Intervenir sur les comportements difficiles en FP-FGA ».

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Tout le monde apprécie les albums jeunesse, autant les élèves que les enseignants.es. Pourquoi ne pas profiter de cet engouement pour travailler les mathématiques? En effet, il est démontré que l’utilisation de la littérature jeunesse permet de susciter une plus grande motivation chez les élèves et une plus grande réussite en mathématiques. Elle procure du plaisir aux élèves et permet une meilleure compréhension des concepts mathématiques. Voilà donc de bonnes raisons d’intégrer les albums jeunesse dans votre enseignement des mathématiques. Mais comment faire? C’est ce que nous verrons dans cet atelier. Nous vous présenterons comment exploiter la littérature jeunesse en mathématiques à travers de nombreux exemples tirés de notre livre La littérature jeunesse au cœur des mathématiques. Vous repartirez même avec des activités à vivre en classe avec vos élèves. Alors, venez changer votre façon de voir et d’enseigner les mathématiques!

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Je suis conseillère pédagogique de mathématiques depuis 2011 et détentrice d’une maitrise en éducation de l’Université de Sherbrooke. J’ai publié 3 ouvrages aux Éditions Chenelière Éducation. Les deux premiers traitent de l’enseignement par la manipulation afin de faciliter les apprentissages des élèves. Le petit dernier traite de l’utilisation de la littérature jeunesse pour favoriser l’apprentissage des mathématiques.

Je suis enseignante au primaire depuis 2016 au Centre de services scolaires de Saint-Hyacinthe. J’ai enseigné de nombreux niveaux scolaires, y compris des niveaux multiples. J’ai toujours eu beaucoup de plaisir à enseigner les mathématiques et j’ai développé une expertise sur le sujet. J’ai toujours aussi beaucoup aimé raconter des histoires à mes élèves ce qu’ils apprécient beaucoup. Alors, pourquoi ne pas jumeler les deux? C’est ce qui nous a inspiré notre livre ainsi que cet atelier.

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Enseigner selon une approche intégrée de la langue, c’est, entre autres, faire ressortir les liens qui existent entre les différentes composantes du français. Les ateliers d’écriture sont justement structurés de manière à faire ressortir les liens entre la lecture et l’écriture. En effet, n’écrivons-nous pas pour être lus ? Tout au long des modules d’écriture, des liens étroits sont tissés entre les auteurs et les lecteurs. Mais qu’en est-il de la place de l’oral au sein de ces ateliers ? Sa place est-elle réservée aux partages entre pairs ? Est-il possible d’intégrer un enseignement spécifique de l’oral dans les modules proposés aux élèves ? Quel lien est-il possible de tisser entre l’écriture, la lecture et l’oral ? C’est en s’inspirant des résultats d’une recherche-action menée auprès d’enseignants qu'il sera possible de comprendre comment intégrer concrètement un enseignement de l’oral aux ateliers d’écriture. Et ce, non seulement pour soutenir le partage entre pairs, mais également pour soutenir le développement même de la compétence à écrire. Cette conférence a été préparée avec la collaboration d'Annie Presseau

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Emmanuelle Soucy a enseigné pendant plus de 15 ans au primaire. Elle est professeure de didactique du français à l’Université du Québec à Trois-Rivières. Ses intérêts de recherche concernent principalement l’approche intégrée de l’enseignement du français, et ce, particulièrement au moyen de la littérature jeunesse. Elle accompagne les enseignants désirant ajuster leurs pratiques afin de favoriser un enseignement intégré de la langue, notamment en accordant un rôle important à l’oral.

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La collaboration est une valeur essentielle dans nos projets éducatifs, mais comment se concrétise-t-elle réellement ? Dans le cadre de l'interaction directe avec les élèves, l'accent est mis sur la collaboration entre pairs, à travers laquelle les enseignants construisent des environnements d'entraide. Cependant, au sein des équipes-écoles, cultiver cette collaboration devient plus complexe, car elle dépasse le contrôle d'un seul individu. Pourtant, développer la collaboration n'est pas facultatif, c'est une obligation morale, compte tenu de son immense impact sur la réussite et le bien-être des élèves ayant des besoins particuliers. Ensemble, nous explorerons comment créer une culture organisationnelle qui valorise l'intelligence collective et la solidarité. Nous vous partagerons des outils pour établir un portrait de la collaboration dans votre équipe en définissant les caractéristiques d'une collaboration de qualité. Nous examinerons également la corrélation entre des pratiques collaboratives efficaces et le bien-être des élèves et du personnel, illustrée par des récits d'expérience et des données de recherche. Enfin, nous fournirons des conseils pratiques pour favoriser un changement de culture au sein de votre équipe-école. Rejoignez-nous pour devenir un agent de changement dans votre école ou votre centre!

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Pour que chaque individu mérite de vivre la vie qu'il désire, je me dévoue depuis 18 ans à offrir une éducation de qualité aux jeunes apprenants adultes. Enseignant pendant 13 ans, conseiller pédagogique en inclusion et adaptation scolaire pendant 4 ans, notamment pour les élèves doué.e.s doublement exceptionnel.les et les élèves empruntant les parcours vers l'emploi, je soutiens aujourd'hui les adultes ayant des besoins particuliers, comme CP ainsi que comme chargé de cours à l'UQÀM.

Je suis une conseillère pédagogique passionnée par le suivi du progrès, la culture de données et la réussite éducative. Je soutiens le développement du leadership et la collaboration dans mon centre de services, notamment en collaborant à la formation des futures directions. Mon expérience de plus de 10 ans à titre d'enseignante à la fois au Québec et en Ontario enrichit ma perspective et mon approche.

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Planifier n'est pas toujours évident. Rendre les apprentissages plus concrets, les relier ensemble, c'est tout un défi! C'est là que la planification par thématique vient à la rescousse. Dans cette conférence, je partagerai avec vous comment j'oriente ma planification, particulièrement du texte courant, en partant de thématiques choisies et réfléchies.

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Passionnée par la littérature jeunesse, Alex-Anne a pour cheval de bataille la démocratisation de la lecture en classe. Son objectif est de montrer combien cette compétence est à la base de tout le reste. Elle travaille avec des élèves du parcours régulier et cherche sans cesse à se renouveler pour les motiver.

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L’iPad intègre de multiples fonctionnalités pour éliminer les barrières et aider chaque apprenant(e) à atteindre son plein potentiel. C'est un outil accessible et intuitif qui s'adapte aux besoins de chacun(e). Mais connaissez-vous réellement toute la puissance et la polyvalence du iPad? Sauriez-vous dire quelles applications ou quelles fonctionnalités d'accessibilité permettent de transformer l'apprentissage en expérience personnalisée, motivante et authentique - à l'image de chaque apprenant(e)? Dans cette conférence, vous apprendrez comment maximiser l'utilisation du iPad lors de vos interventions en orthopédagogie. Il sera entre autres question d'activités engageantes à réaliser avec l'iPad, de trucs et astuces, d'applications natives, ainsi que de fonctions d'accessibilité qui visent à soutenir la réussite de tous. Préparez-vous à découvrir, manipuler, expérimenter et, surtout, à vous amuser!

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Gabrielle Juneau est directrice du développement, leadership et apprentissage chez Apple Canada. Forte d’une expérience comme enseignante au primaire et au secondaire, elle a aussi travaillé de nombreuses années comme orthopédagogue. Au quotidien, elle a l’unique chance de collaborer avec des leaders éducatifs à travers le Canada, de les inspirer à adopter de nouvelles pratiques pédagogiques transformatrices afin que tous puissent atteindre leur plein potentiel grâce aux technologies Apple .

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L’hétérogénéité de la classe ordinaire appelle à mettre en place des pratiques universelles qui répondent à la diversité des besoins des élèves. Malgré l’existence de pratiques éducatives reconnues pour soutenir leur adaptation psychosociale, favoriser un climat de classe propice aux apprentissages et à la socialisation demeure un défi faisant émerger la question suivante : par quoi et par où commencer? Cet atelier permettra aux personnes enseignantes et intervenantes de se familiariser avec les composantes et les principes d’intervention essentiels à travers la présentation de La trousse TAMARIN accessible gratuitement en ligne sous forme d’autoformation. Conçue pour les classes du préscolaire et des premiers cycles du primaire, cette trousse propose une logique d’intervention proactive aux personnes enseignantes par le biais de deux principales actions : 1) dépister, à partir d’un outil universel en ligne qui fournit un profil comportemental pour chaque élève ainsi qu’un portrait de classe (18 énoncés sur 16 comportements fréquents à l’école); 2) intervenir, soutenu par 16 fiches de pistes d'interventions (une pour chaque comportement). Développée et évaluée par et auprès de personnes enseignantes, des résultats préliminaires suggèrent que la trousse est utile et qu’elle est associée à une plus grande fréquence d’utilisation de pratiques positives auprès des élèves.

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Marie-France Nadeau, M.Ps., Ph.D., est professeure dans le domaine de l’intervention éducative et titulaire de la Chaire de recherche sur les contextes éducatifs au service des apprentissages et du bien-être (conexa) de l'Université de Sherbrooke. Ses travaux portent entre autres sur les pratiques d’enseignement et d’intervention en soutien au développement et aux apprentissages cognitifs, sociaux et affectifs des jeunes, ainsi qu’aux interactions positives en classe.

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Learning trajectories are shaped by the dynamic interplay between nature and nurture, starting in utero and continuing throughout the lifespan. Learning differences/disabilities are often not identified until childhood or adolescence, but diverging trajectories of brain development may be present as early as prenatally. Furthermore, children's experiences and their interactions with their environment have long-lasting influences on cognitive and brain development and future academic outcomes. This talk will focus on learning differences in reading acquisition within a learning disability framework. It will present results from our longitudinal behavioral and neuroimaging studies that characterize differences in learning to read as a complex outcome of cumulative risk and protective factors interacting within and across genetic, neurobiological, cognitive, and environmental levels from infancy to adulthood. Results are discussed within an early multifactorial framework of learning differences, emphasizing screening in educational and community settings, early identification, and preventative strategies. Finally, using a global lens, the implications of these findings for contemporary challenges in educational and clinical practice and policy are discussed.

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Nadine Gaab is an associate professor of Education at the Harvard Graduate School of Education. Her work focuses on typical/atypical learning trajectories from infancy to adolescence with an emphasis on language/reading development within a learning disabilities framework. Her work is at the intersection of neuroscience, psychology, learning sciences, EdTech, and policy.

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L'idée d’évaluer autrement suscite de nombreuses discussions et s'accompagne souvent de questions et d'incertitudes chez les enseignants. Ce panel se concentrera sur les pratiques qui placent l'évaluation au service de l'apprentissage. Les panélistes aborderont des questions clés, telles que la collecte de preuves variées, la personnalisation des preuves d'apprentissage pour chaque élève, et l'intégration de l'entraide entre élèves dans le cadre d'une évaluation individuelle. Ils discuteront également des défis liés au changement de paradigme en évaluation, notamment la triangulation et l'importance de redonner confiance aux enseignants dans leur capacité à évaluer les élèves de manière traditionnelle, sans se reposer uniquement sur des traces écrites. À travers des exemples concrets et des stratégies pratiques, ce panel aidera les enseignants à adopter des pratiques évaluatives qui soutiennent véritablement l'apprentissage.

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Martin Lépine est professeur de didactique du français à l’UdeS

Julie Provencher est rédactrice en chef des contenus de La CLEF et doctorante en didactique de la lecture à l’UdeM

Alexandra Hontoy est enseignante et cofondatrice du blogue J’enseigne avec la littérature jeunesse

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Le bien-être à l’école est une notion essentielle pour la réussite éducative des élèves et le climat de travail des enseignants. Mais que signifie réellement se sentir bien à l’école, que ce soit pour un élève ou un membre du personnel éducatif? Ce panel propose de démystifier cette notion et de discuter des enjeux auxquels font face les élèves, en particulier ceux en difficulté, ainsi que des pratiques qui pourraient améliorer leur bien-être. Les panélistes exploreront l’importance de créer un environnement scolaire dans lequel chaque élève, quel que soit son profil d’apprentissage, peut s’épanouir pleinement. La discussion portera également sur la nécessité d’aligner les pratiques scolaires avec le bien-être de l’ensemble de la communauté éducative.

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Dr. Égide Royer est psychologue, chercheur et spécialiste de la réussite et de l’adaptation scolaire

Catherine Poulin est enseignante au primaire et chargée de cours à l'Université de Sherbrooke

Mylène Leroux est professeure en formation pratique à l'Université du Québec en Outaouais et chercheuse au Centre de recherche interuniversitaire sur la formation et la profession enseignante

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A l'instar des "interventions mindset", les interventions psychosociales sont au cœur d'un engouement sans précédent et de grandes interrogations quant à leur efficacité pour aider les élèves à rester motivés et à augmenter leurs résultats scolaires. Mais comment passer de la théorie à la pratique ? Et suffit-il de dire aux élèves qu'ils peuvent s'améliorer pour voir des effets bénéfiques ? Dans cette conférence, nous ferons un tour d'horizon des différentes interventions qu'il est possible de mettre en place dans la salle de classe et sur les différentes étapes à respecter pour y arriver efficacement.

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Mes recherches s'intéressent aux facteurs qui poussent les gens à penser que certains traits (intelligence, personnalité) sont fixes. Durant mon doctorat à l'Institut du Cerveau et mon postdoctorat à Boston University, j'ai eu l'occasion de mener de nombreux projets théoriques et appliqués avec des publics variés (élèves d'école primaire et secondaire, parents, professeurs).

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Le besoin fondamental des enfants et des ados qui vivent des difficultés d’apprentissage ou de comportement est d’être en présence d’un adulte alpha. Un adulte qui prend en charge leurs besoins essentiels de développement, leurs états d’âme, leur maturité affective, sociale et cognitive ainsi que l’épanouissement de leurs forces de caractère. Car aucun jeune ne peut vraiment se développer et s’épanouir de manière optimale sans une saine dépendance à un adulte alpha.

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Catherine Poulin est enseignante depuis 2011. Elle enseigne principalement au troisième cycle du primaire et explore différentes approches avec ses élèves telles que l’aménagement flexible et les ateliers d’écriture et de lecture. Elle a complété sa maîtrise en 2020 et elle est également chargée de cours à l’UdS où elle offre de la formation en lien avec la gestion de classe et la gestion des comportements difficiles.

Richard Robillard est formé en psychopédagogie, en psychosynthèse et en intervention psychothérapeutique individuelle. Il est formateur et chargé de cours à l’Université de Sherbrooke au diplôme de deuxième cycle et à la maîtrise professionnelle en enseignement au préscolaire et primaire. Conférencier dans diverses commissions scolaires et écoles du Québec. Consultant auprès des parents et des enseignants. Il est engagé dans le monde de l’éducation depuis l’automne 1967.

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Les difficultés en mathématiques sont complexes et varient grandement quant à leur nature. Cette présentation a pour but d’aider les orthopédagogues, les enseignant.es et les autres intervenant.es scolaires à mieux comprendre comment différentes habiletés et aptitudes jouent un rôle dans la nature, la persistance et l'intensité des difficultés en mathématiques. Elles et ils seront ainsi plus outillé.es à repérer les difficultés chez les élèves, à différencier leur enseignement, à mettre en place les adaptations les plus pertinentes et à identifier les situations où la collaboration avec d’autres professionnel.les permettrait de mieux soutenir l’élève rencontrant des difficultés en mathématiques. Cette présentation repose sur une synthèse des modèles théoriques en cognition mathématique, élaborée dans le cadre d'un projet de développement professionnel en orthopédagogie (M. Éd.). Celle-ci sera vulgarisée au moyen d'un schéma de synthèse qui pourra par la suite servir d'outil de référence aux participantes et participants.

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Orthopédagogue, autrice et formatrice en éducation, Kim est membre de l’OEEO et de L’ADOQ en plus de détenir un brevet d'enseignement du Québec. Depuis ses études à la M. Éd., elle s'intéresse aux difficultés persistantes en mathématiques et collabore avec le Laboratoire de recherche sur l’enseignement et l’apprentissage des mathématiques de l’université Concordia. Kim croit profondément l’établissement de liens entre la recherche et la pratique est ce qui fera de nous de meilleurs pédagogues.

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Cet atelier concret survolera différentes pratiques efficaces ayant été expérimentées en classes d’adaptation scolaire et en orthopédagogie par Caroline Côté et Marie-Philippe Goyer. Ces orthopédagogues ont la conviction qu’un enseignement explicite des stratégies de révision et la mise en place de dispositifs variés et différenciés sont essentiels pour développer la compétence à écrire chez les jeunes. Elles approcheront la révision selon 4 intentions pédagogiques : - Enseigner des stratégies d’écriture (mini-leçons, tableaux d’ancrage, écritures collaboratives); - Encourager la collaboration entre pairs (cercles de révision, partenaires d’écriture); - Offrir un soutien personnalisé (cahier de démonstrations, entretiens, rétroactions); - Favoriser le transfert et l’autonomie en classe Écrire va au-delà d’orthographier. Souvent, un temps trop important est accordé à la correction au détriment de la révision. En proposant cet atelier, ces orthopédagogues souhaitent rétablir un équilibre pour actualiser le plein potentiel des élèves.

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Détentrice d’un baccalauréat en adaptation scolaire et sociale et d'un DESS en Éducation à l'UdeM, Caroline Côté travaille depuis plus de 10 ans à l’école Vanguard comme orthopédagogue. Passionnée de littérature jeunesse, et toujours à la recherche de projets stimulants et signifiants, cette dernière souhaite promouvoir la mise en place de pratiques efficaces, inclusives et probantes. Son but ? Placer les élèves au cœur de leurs apprentissages afin d’assurer la réussite de tous.

Détentrice d’un baccalauréat en adaptation scolaire et sociale, Marie-Philippe a travaillé en classes spécialisées ainsi qu’en orthopédagogie en milieux scolaires et privés. Présentement gestionnaire et créatrice de contenus à l’Institut des troubles d’apprentissage du Québec, elle satisfait sa curiosité professionnelle en collaborant avec des experts et pédagogues passionnés.

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La recherche a conclu que les modes d’apprentissage visuel auditif kinesthésique sont un mythe. On n’est jamais tout l’un ou tout l’autre. Toutefois, la pratique nous montre que certains élèves en difficulté ont besoin d’un support visuel pour mieux comprendre, surtout lorsqu’il y a plusieurs étapes à franchir pour effectuer une réflexion. Il faut alors savoir présenter la théorie de façon visuelle pour favoriser leur réussite. La conférencière a mesuré l’impact de cette démarche auprès des élèves en difficulté après qu’une de ses élèves lui ait dit : « Michèle, pourquoi qu’avec toi, je comprends et qu’avec mon prof, je ne comprends pas? » Après réflexion et formation sur les styles cognitifs, elle a compris qu’elle utilisait tout simplement sa façon personnelle de fonctionner, avec un portrait global visuel et logique, et que c’était aussi le fonctionnement des élèves qui lui étaient référés, alors qu’à l’école, cette façon était peu utilisée. Dans cet atelier, Michèle Potvin vous présentera sa vision de la théorie visuelle et logique. Après un exposé théorique pour justifier ses propos, elle exposera plusieurs exemples et contre-exemples de présentations efficaces. Finalement, elle transformera en direct une théorie « ordinaire » en théorie visuelle, mais aussi logique, car tout enseignement doit être basé sur la logique pour que la compréhension s’installe et demeure.

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Orthopédagogue retraitée après plus de 25 ans de pratique, Michèle Potvin a travaillé avec des clientèles variées en adaptation scolaire au secondaire, en FGA et en pratique privée du préscolaire à l’université. Passionnée d'informatique, elle met sa créativité au service des élèves pour développer des façons d'enseigner autrement et pour concevoir des outils d'évaluation et d'intervention, afin d'amener le plus d’élèves possible à mieux réfléchir et à atteindre son plein potentiel scolaire.

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Comme vous le savez, la collaboration entre enseignant.e.s du primaire et orthopédagogues n’est pas toujours évidente, pour diverses raisons. Toutefois, pour favoriser les apprentissages et le transfert de ces apprentissages chez les élèves qui manifestent des difficultés à apprendre, une collaboration soutenue est essentielle. Cette communication présente des résultats de deux recherches-action. Un cadre de référence empruntant d’une part, à la neuropsychologie et, d’autre part, au concept de compétence collective, a été élaboré pour réaliser l’analyse des données issues de journées de rencontres, d’observations et d’entretiens semi-dirigés. Des pistes d’action sont finalement proposées aux divers acteurs du milieu scolaire. Cette conférence a été préparée avec la collaboration d'Emmanuelle Soucy.

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Annie Presseau est professeure de psychopédagogie au département des sciences de l'éducation de l'UQTR depuis 1998. Elle réalise des recherches-action avec des enseignants qui accueillent des élèves HDAA dans leurs classes régulières ainsi que des orthopédagogues. La différenciation pédagogique est au coeur de ses divers engagements professionnels.

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Les fonctions exécutives sont cruciales pour planifier, organiser et réguler nos comportements quotidiens. Cette conférence explore en profondeur ces compétences cognitives, essentielles au développement des jeunes et particulièrement importantes pour les enfants avec un trouble du déficit de l'attention/hyperactivité (TDAH). Nous aborderons l'inhibition, la mémoire de travail et la flexibilité cognitive, et leur rôle dans la réussite scolaire, les interactions sociales et la gestion des tâches quotidiennes. Nous verrons comment ces fonctions sont affectées par le TDAH, notamment en matière de concentration, d'organisation et de prise de décision. La conférence se penchera aussi sur la gestion des émotions, une compétence souvent négligée. Nous proposerons des stratégies concrètes pour améliorer cette régulation émotionnelle, avec des outils pratiques pour les familles, enseignants et professionnels de la santé. Nous explorerons enfin pourquoi la régulation émotionnelle est particulièrement difficile pour les enfants avec TDAH et comment des approches spécifiques peuvent les aider à surmonter ces défis.

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Ariane Hébert, psychologue et fondatrice de LA BOÎTE À PSY, se spécialise dans l'accompagnement des individus et familles face à des défis particuliers. Elle est l’auteure des collections « La boîte à Outils » et « Les Racontés aux enfants », abordant des thèmes comme le TDAH, l'anxiété et la gestion des écrans. Clinicienne depuis 1998, elle est aussi conférencière et formatrice depuis 2010, partageant son expertise au Canada et en France à travers formations et capsules web.

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Bien que les pratiques d'enseignement de la lecture de textes variés et de l'appréciation des oeuvres littéraires se soient bonifiées depuis le tournant de l'an 2000, les modalités d'évaluation de la compétence à lire demeurent bien souvent traditionnelles, influencées par les épreuves provenant du ministère de l'Éducation, des centres de services scolaires ou d'autres organismes. C'est ainsi que diverses enquêtes constatent un déclin chez les élèves de leur gout de lire et de leurs attitudes envers la lecture au fil de la scolarité obligatoire. Comment alors mettre en valeur toutes les lectrices et tous les lecteurs de la classe par des pratiques évaluatives plus dynamiques, plus inclusives et plus signifiantes? L'atelier proposé se décline en deux temps : 1) une première partie qui porte sur l'acte de lire, le rapport à la lecture des lectrices et des lecteurs ainsi que sur l'évaluation; 2) une deuxième partie qui présente différentes propositions pour bonifier des situations d'évaluation de la lecture existantes et pour rendre plus dynamiques les épreuves traditionnelles.

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Martin Lépine est professeur de didactique du français à la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke et chercheur régulier du Centre de recherche sur l’enseignement et l’apprentissage (CREA) et du Collectif CLÉ sur la continuité lecture-écriture (CLÉ). Il s’intéresse particulièrement aux approches didactiques de la littérature et à l’intégration de la dimension culturelle à l’école. Il est l’initiateur et le responsable du programme des Passeurs culturels en éducation.

Marie-Hélène Marcoux est conseillère pédagogique à la Faculté d'éducation de l'Université de Sherbrooke. Elle coordonne le projet des Passeurs de lecture en éducation. Elle est également formatrice et animatrice littéraire dans les écoles du Québec. Elle est aussi l’autrice de deux ouvrages sur la lecture de bande dessinée à l’école La BD au primaire et La BD au secondaire, parus chez Chenelière Éducation.

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Qu'il se révèle amateur, débutant, doué, excellent ou talentueux... Qu'il ait des défis, des difficultés, de l'inspiration ou le syndrome de la page blanche... Antidote saura répondre aux besoins du scripteur, peu importe son niveau scolaire et ses besoins. Dans cet atelier, découvrez différentes activités afin d'intégrer Antidote dans les apprentissages d'un groupe pour répondre aux particularités de chacun. Qu'il s'agisse de peaufiner ses écrits, de trouver le mot juste, d'enrichir son vocabulaire: manier la langue deviendra un défi réaliste et motivant quand Antidote sera un allié précieux qu'on utilise efficacement!

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Passionnée des mots et de la langue française depuis l'enfance, Pascale Campeau partage sa ferveur linguistique en enseignant à des élèves équipés d’un portable ou d’une tablette. Elle découvre tout le potentiel du logiciel Antidote qu’elle utilise pour encourager et motiver ses troupes à réfléchir et à peaufiner leurs écrits. Convaincue qu’Antidote peut transformer la rédaction de tous, peu importe l’habileté et l'âge du scripteur, elle propose différentes activités d'écriture originales.

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L’orthographe grammaticale est complexe en français en grande partie parce que les traces graphiques d’accords sont muettes ou partiellement muettes. Saviez-vous que l’accord verbal est la plus grande source d’homophonie de la langue française ? On ne peut pas se fier seulement à ce que l’on entend pour accorder un verbe, on doit réfléchir sur le sens sémantique de la phrase ou de l’énoncé (on parle de qui/quoi, ce qu’on en dit ...), le lier à son sens grammatical (classe, genre, nombre, personne, temps ...) pour savoir quel suffixe verbal produire. Maitriser les accords verbaux est un des plus grands défis en apprentissage du français. L’accord verbal est-il une source d’anxiété chez vos apprenants ? Vos élèves répondent-ils aux attentes quant à l’accord verbal en écriture ? Il y a plus de 10 000 terminaisons verbales à apprendre si on se fie au Bescherelle (88 formes d’accords, 7 modes, 22 temps et 6 personnes). Comment fait-on pour enseigner à nos apprenants à conjuguer efficacement ? À la suite de cette conférence, les participantes et les participants seront outillés pour adopter une approche métacognitive à l’enseignement des accords verbaux, c’est-à-dire un enseignement systématique et explicite du système verbal et des gestes mentaux à l’oral qui favoriseront la réussite de l’accord verbal à l’écrit.

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Lise L’Heureux est orthopédagogue en pratique privée depuis 2004. Elle a siégé au CA de L’ADOQ de 2015 à 2022. En 2018, elle a fondé La faculté de Lexie et Graphie, un service de formation, de consultation et d'accompagnement en enseignement efficace de la lecture-écriture chez les petits et les apprenants dys-dys et les adultes analphabètes. Lise a une maitrise en didactiques des langues (UQAM). Elle est une experte du rôle de la morphologie en apprentissage de l’orthographe au primaire.

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La présentation portera sur les résultats d’une recherche mixte menée au Québec entre 2019 et 2023 en partenariat avec 4 centres de service scolaires et financée par le CRSH. Il s’agit d’une étude du parcours post-migratoire de jeunes réfugiés et demandeurs d’asile arrivés au Québec entre 2015-2018. L’objectif principal de la recherche était de dégager les profils de cheminement scolaire de ces jeunes ainsi que les éléments systémiques ayant favorisés ou non leur parcours scolaire et leur parcours post-migratoire. Les résultats permettent de jumeler les données quantitatives (cheminement de 4760 élèves) et qualitatives (entrevues semi-dirigées avec 31 élèves et19 familles et entrevues de groupe avec 29 acteurs scolaires), de croiser les regards des jeunes et des familles avec ceux des acteurs scolaires et de souligner des pratiques éducatives gagnantes.

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Garine Papazian- Zohrabian est professeure titulaire au Département de Psychopédagogie et d’Andragogie de l’Université de Montréal. Elle est Directrice scientifique de l’Équipe de recherche interdisciplinaire sur les familles réfugiées et demandeuses d’asile (FRQSC). Elle est chercheure régulière du CRI-JaDE et de l’IU-SHERPA (Recherche, Immigration et Société), ainsi que psychologue, psychothérapeute, membre de l’Ordre des psychologues du Québec

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Teachers have been told for many years that they should teach reading with texts at students’ reading levels, rather than grade levels. The idea has been that matching texts to students in that way would facilitate learning. Frustration level texts supposedly reduce the amount of learning and undermine motivation. However, research shows students, including students with learning disabilities, make as much or more reading progress when taught with more challenging texts. This presentation will explore that research and provide specific examples of how to teach students successfully with complex text.

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Timothy Shanahan is Distinguished Professor Emeritus at the University of Illinois at Chicago. He is the former director of reading for the Chicago Public Schools and recently was Visiting Research Professor at Queens University, Belfast, Northern Ireland. He is author/editor of more than 300 publications on the teaching of literacy.

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Alors que les classes d’aujourd’hui se diversifient de plus en plus sur les plans linguistique et culturel, il convient de se questionner quant au recours à des pratiques d’enseignement qui valorisent les connaissances plurielles que détiennent les élèves et qui, ce faisant, favorisent leur apprentissage du français. Dans le cadre de cet atelier, qui vise particulièrement les professionnel.les de l’éducation œuvrant au primaire, nous mettrons en avant bon nombre de pratiques plurilingues, qui reposent sur la légitimation et la mise en perspective des langues que connaissent les élèves et qui leur permettent, chemin faisant, de s’approcher progressivement du français de l’école. À partir d’une présentation de pratiques qui ont été mises en œuvre par des personnes enseignant au primaire en Ontario francophone, nous verrons notamment comment il est possible d’enseigner la lecture et la grammaire en légitimant le répertoire linguistique composite des élèves d’aujourd’hui.

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Joël Thibeault est professeur régulier à la Faculté d’éducation de l’Université d’Ottawa et professeur auxiliaire à la Faculté d’éducation de l’Université de Regina. Dans le cadre de sa recherche, il s'intéresse notamment à l'enseignement et à l'apprentissage de la grammaire en contexte francophone minoritaire, à l'utilisation de la littérature de jeunesse dans l'enseignement des conventions linguistiques et aux approches plurilingues en enseignement du français.

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Au cours des dernières années, la population du Québec a été confrontée à de nombreuses catastrophes naturelles, incluant la pandémie de COVID-19. À la suite de tels événements, le milieu scolaire est souvent sollicité afin de mettre en place des stratégies et des interventions visant à assurer le bien-être des élèves. Or, devant la détresse vécue par les jeunes exposés à des catastrophes naturelles, les personnes enseignantes peuvent se sentir démunies et limitées dans les interventions à mettre en place. Afin de développer la résilience et le pouvoir d’agir de jeunes exposés à des catastrophes naturelles, cette communication vise à mettre en évidence la pertinence de l'utilisation du Digital Storytelling (DST) en milieu scolaire. Le DST est une méthode de recherche et d’intervention qui combine l'art de raconter des histoires avec un mélange de médias numériques, y compris du texte, des images, de la narration audio, de la musique et de la vidéo. Un exemple concret de l'application de cette méthode dans deux milieux scolaires sera présenté, à la lumière d’une expérience menée avec 28 adolescentes et adolescents à la suite de leur exposition à des inondations et des tornades dans la région de l’Outaouais. Les résultats de l'évaluation de la mise en œuvre de cette méthode avec les jeunes qui y ont participé seront présentés et discutés.

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Eve Pouliot (Ph.D.) est professeure titulaire en travail social à l’UQAC. Cotitulaire de la Chaire VISAJ sur la vie et la santé des jeunes, elle est également chercheure régulière au Centre de recherche universitaire sur les jeunes et les familles (CRUJeF) et au Centre de recherche Jeunes, Familles, Réponses sociales (JEFAR). Ces différentes affiliations l’amènent à s’intéresser aux jeunes et aux familles vulnérables dans différents projets de recherche, notamment en contexte de catastrophes.

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Vous aimeriez découvrir comment mettre en place des pratiques inclusives en mathématiques au secondaire ? Vous aimeriez trouver des moyens de favoriser la motivation et l’engagement des vos élèves dans votre classe de mathématiques ? Vous voulez découvrir les tâches «Low floor, high ceiling» ? Vous souhaitez découvrir l’importance des cibles d’apprentissage ? Vous aimeriez voir comment le numérique peut soutenir votre enseignement et simplifier vos tâches en lien avec l'inclusion en classe de mathématiques ? Vous aimeriez être à l'aise avec les pratiques collaboratives qui soutiennent les apprentissages en classe de mathématiques ? Vous enseignez les mathématiques ou accompagnez des enseignants de mathématiques ! Cette conférence est pour vous!

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Monsieur Ouellet a commencé sa carrière en éducation en 2000 comme enseignant de mathématiques. Il a enseigné tant au secteur public que privé. En 2012, il devient conseiller pédagogique en mathématiques et science au secondaire ainsi que représentant Récit. En 2021, sa passion pour l’enseignement le pousse à retourner comme enseignant et technopédagogue au Collège Sainte-Anne-de-la-Pocatière. Depuis 2023-2024, il en est maintenant le directeur des services pédagogiques.

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Les fondements essentiels à l’apprentissage de la lecture et de l’écriture jouent un rôle déterminant dans la réussite des élèves au premier cycle du primaire. L’approche de la littératie structurée a fait ses preuves en démontrant les pratiques d’enseignement efficaces qui assurent l’établissement des bases solides en littératie et qui répondent à la diversité d’apprenants. Les actions concertées entre les différents intervenants exercent également une influence positive sur le cheminement de chaque apprenant, y compris tous les intervenants scolaires. Voici les objectifs ciblés durant cet atelier : o Déterminer les éléments essentiels pour établir une orientation commune chez les intervenants afin d’implanter l’approche de la littératie structurée; o Comprendre les principales caractéristiques de l’approche de la littératie structurée; o Explorer les pratiques gagnantes qui optimisent la capacité collective d’une équipe.

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Marie-Josée est accompagnatrice pédagogique responsable du français et de la littératie au premier cycle du primaire au District scolaire francophone du Nord-Ouest N.-B. Elle détient une maîtrise en administration scolaire et un baccalauréat en enseignement au primaire. Elle est co-auteure d’un livre « Une porte d’entrée dans la réussite en écriture » et elle est conceptrice et collaboratrice principale pour le développement d’une série de guides pédagogiques en littératie pour le ministère.

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L’anxiété est un sujet qui touche les jeunes de tout âge. Les petits vivent eux aussi toutes sortes de pressions au quotidien. Il importe de bien discerner la nature du stress et de l’anxiété pour pouvoir soutenir les enfants dans leur quotidien et les aider à trouver des outils pour la gestion de leurs émotions. Les professionnels procédant à l’appréciation du fonctionnement et des besoins des petits reconnaissent parfois difficilement les signes de stress et d’anxiété qui se mélangent avec les comportements difficiles. Il est important de comprendre les différentes formes d’anxiété chez les petits et de cibler les différents outils de prévention et d’intervention. OBJECTIFS : Reconnaître les différents aspects du stress et de l’anxiété ; Faire le lien entre les symptômes anxieux et les différents profils de différents troubles neurodéveloppementaux ; Identifier des outils d’intervention du quotidien qui s’appliquent aux petits.

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Noémie Hébert est une neuropsychologue clinicienne œuvrant auprès jeunes avec un trouble neurodéveloppemental en clinique privée (clinique Origami). Elle a obtenu son PhD à l’Université de Montréal (2014) et se spécialise en autisme et en anxiété. Elle est membre du RTSA et œuvre à titre de professionnelle de recherche de l’IR-CUSM. Elle est formatrice et offre de la consultation au Centre de formation CENOP.

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Dans cette formation consacrée au Chromebook, je vous accompagne dans la découverte des fonctionnalités de cet appareil. Vous apprendrez à tirer pleinement parti de ses capacités, y compris ses options d’accessibilité, pour une expérience utilisateur adaptée à tous les besoins. Nous examinerons les moyens pour optimiser l'utilisation du Chromebook, ce qui vous permettra de maximiser son utilisation.

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Alexandra Coutlée, avec plus de 20 ans d’expérience en éducation en tant qu’enseignante et conseillère pédagogique, est aujourd’hui consultante, coach et formatrice spécialisée en transformation numérique. Elle s’investit dans l’étude des technologies émergentes, en particulier l’intelligence artificielle, et aide divers milieux à les intégrer de façon éthique et productive.

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Les expériences de travail pendant les études peuvent présenter une menace au bien-être et à la réussite scolaire, mais aussi soutenir le développement identitaire et les transitions vers la vie active. En se centrant en particulier sur les besoins des jeunes et les leviers à disposition, cette conférence présentera quelques constats concernant le rôle du travail et de la conciliation études-travail-vie personnelle, à partir de diverses sources d’informations scientifiques et de pratiques inspirantes.

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Il œuvre depuis 20 ans dans le domaine de l’orientation professionnelle auprès des jeunes adultes. Après avoir travaillé dans divers organismes communautaires, depuis les 16 dernières années il cumule les expériences dans le secteur de l’éducation: principalement à l’éducation des adultes, à titre de conseiller d’orientation, de répondants des c.o. au CSSDM. Depuis novembre 2021, il oeuvre à titre de responsable du service d'accompagnement national pour les SARCA et vice-président de l'AQIFGA.

Professeure à l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal et titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur la transition à l’âge adulte. Véronique Dupéré s’intéresse aux facteurs et moyens permettant d’assurer un passage à l’âge adulte réussi pour tous les jeunes adultes, qu’ils poursuivent ou non des études post-secondaires. Ses travaux se penchent sur différentes formes de soutien pouvant se déployer dans divers systèmes (ex., éducatifs et vocationnels, familiaux et en santé.

Agente de développement et de liaison à Réseau réussite Montréal, Milène Roger-Tessier est responsable du dossier sur le travail des jeunes et des actions qui en découlent au sein de l’organisation. Dans la dernière année, elle a piloté une démarche de consultation d’une cinquantaine de jeunes et d’une douzaine d’intervenants afin de recueillir leur perception des principaux motifs amenant les jeunes sur le marché du travail, les conséquences qui en découlent, tant positives que négatives et les actions mises en place pour les soutenir.

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In this session, we will look at how more thoughtful consideration of questions posed to students in mathematics classrooms can go a long way to building student success. It is not about making things easier, but making things meaningful and encouraging diverse viewpoints. We will explore questions in Grades K-6 in a number of mathematical domains addressed by the Québec progression of learning.

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Marian Small writes and speaks about K-12 math across the country. Her focus is on teacher questioning to get at the important math, to include all students, and to focus on critical thinking and creativity. Some resources she has written include Making Math Meaningful for Canadian Students: K-8 and MathUp.

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La recherche démontre que la qualité de la relation enseignant-élève s’avère significativement associée à certaines manifestations comportementales en milieu scolaire ainsi qu’à la régulation émotionnelle de l’élève. Il peut parfois être difficile de créer une relation harmonieuse et un lien de confiance avec certains élèves, exacerbant alors des comportements perçus comme difficiles ou problématiques par l’adulte. En ce sens, tous les membres du personnel de l’école gravitant dans l’environnement de l’enfant au quotidien peuvent être considérés comme des figures d’attachement significatives et ainsi contribuer à son rendement et sa motivation scolaire, à l’acceptation par ses pairs, à sa confiance en lui, et à son sentiment de sécurité affective. Dans cette conférence appuyée sur le modèle conceptuel de l’éducation sécurisante de Mélanie Bilodeau, il sera notamment question des bases fondamentales de la relation adulte-élève sécurisante, de la théorie de l’attachement, et de stratégies pour construire un lien de confiance avec tous les élèves, incluant ceux avec qui l’établissement de la relation s’avère plus ardu.

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Tant pour les parents que les intervenants, Mélanie Bilodeau est une référence au Québec en périnatalité et petite enfance. Autrice de 6 ouvrages aux Éditions Midi trente, chroniqueuse à Salut Bonjour et Rouge FM, elle propose le concept de parentalité sécurisante, appuyé entre autres sur la recherche en neurosciences et l’attachement, rayonne à l’international, notamment en France, et vulgarise le développement de l’enfant, les pratiques éducatives sécurisantes et la santé mentale parentale.

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Crises d’anxiété, peur intense de l’échec, évitement ou recherche de réassurance… Depuis quelques années, l’anxiété de performance est un phénomène en hausse chez les étudiants, qu’ils soient adolescents ou jeunes adultes. Or, les membres des équipes-écoles se sentent souvent démunis face au stress vécu par les étudiants et ne savent pas toujours comment réagir devant ses montées d’anxiété. Cette conférence vise à outiller les intervenants du milieu scolaire face à l’anxiété de performance. Dans un premier temps, nous démystifierons le phénomène de l’anxiété de performance et ses différentes manifestations afin de mieux reconnaitre les élèves qui sont touchés par cette problématique. Dans un deuxième temps, nous discuterons des attitudes à préconiser pour ne pas alimenter l’anxiété chez les élèves et leur offrir un meilleur soutien face à leurs difficultés.

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Mme Geninet se spécialise dans l’évaluation et le traitement cognitif-comportemental des troubles anxieux depuis 20 ans. Elle exerce en pratique privé et agit également comme formatrice et conférencière. Elle est co-auteure de trois livres : « Tout savoir pour composer avec les turbulences à l’adolescence » et « Les attaques de panique » paru aux Éditions Midi trente ainsi que « L’anxiété apprivoisée : Transformer son stress en ressource positive » paru aux Éditions du Trécarré.

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Plongez dans le monde un peu complexe, mais ô combien captivant du langage et découvrez le rôle de premier plan qu’il joue dans les apprentissages chez les élèves du primaire (et même du secondaire). Dans cette conférence, nous explorerons les subtilités encore trop méconnues des difficultés langagières qui passent souvent inaperçues. Vous découvrirez comment ces défis ont des impacts sur plusieurs plans dans le parcours de nos jeunes apprenants, allant de la réussite académique à l’estime de soi. Au terme de cette conférence, vous comprendrez mieux la dynamique complexe entourant le langage et les apprentissages. Vous repartirez également des pistes d’intervention concrètes pour mieux soutenir vos élèves dans leur parcours au quotidien. Cette conférence s’adresse principalement aux enseignants du secondaire qui désirent mieux soutenir leurs élèves présentant des difficultés d’apprentissage reliées aux difficultés d’origine langagières.

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Marie-Philippe évolue en pratique privée depuis 2015. Sa pratique s’adresse principalement aux élèves aux élèves du 3ème cycle du primaire en montant. Son principal intérêt dans l’accompagnement des élèves avec difficultés d’apprentissage consiste à voir comment ils peuvent retrouver leur motivation et développer leur estime de soi via une meilleure compréhension de leurs forces et de leurs défis pour vivre davantage de réussites.

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Qu’est-ce qu’un cercle de lectrices et de lecteurs? Le cercle de lectrices et de lecteurs est un dispositif différencié et intégrateur de lecture, d’écriture, d’écoute et de prise de parole (Lépine et al., 2022). Il se distingue des cercles de lecture ou des clubs de lecture qui misent, bien souvent, sur l’œuvre ou le texte à lire. Dans un cercle de lectrices et de lecteurs, le point focal est l’être humain qui consacre une partie de sa vie et de ses loisirs à la lecture (CTREQ, 2023). Description de la formation : Le but premier de cette formation est de partager le fruit de notre recherche-action en lien avec les cercles de lecteurs et de lectrices tout en proposant des pistes pratico-pratiques qui sauront inspirer les personnes enseignantes dans la mise en place de ce dispositif convivial et authentique. Objectifs de la formation : • Comprendre ce que sont les cercles de lecteurs et de lectrices • Présenter les conditions gagnantes pour instaurer les cercles en classe • Présenter les retombées positives et les défis associés à la mise en place des cercles • Visionner des lecteurs et des lectrices en action

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Isabelle Robert est enseignante, cofondatrice du blogue L’atelier d’écriture et de lecture au primaire, vice-présidente de De mots et de craie et conférencière. De plus, elle a participé au projet LIBER, piloté par des chercheurs de l’Université de Sherbrooke, dans le but de développer une démarche de cercles de lecteurs. Elle adore son travail auprès de ses élèves et partage son expérience et ses réflexions sur l’enseignement de la lecture et de l’écriture.

Isabelle Denis enseigne au primaire depuis 25 ans. Constamment à la recherche des meilleures pratiques en littératie, elle étudie l’enseignement de l’écriture tout en préparant une maîtrise sur les gestes professionnels liés à l’étayage en lecture. Elle offre des formations et de l’accompagnement pour l’implantation d’ateliers de lecture et d’écriture et accueille régulièrement des enseignants, des conseillers pédagogiques ainsi que des directions d'école dans sa classe.

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Dans la foulée de la volonté du Ministère d’améliorer le taux de réussite des EHDAA, les Centres de services scolaires et leurs intervenants vont devoir examiner les pratiques existantes en vue de trouver des façons de faire qui permettront de matérialiser cette ambition. Cette conférence sera l’occasion de passer en revue quelques principes de base de l’approche de l’amélioration continue ainsi que certaines méthodes utilisées quand on cherche à améliorer des pratiques existantes ou à en concevoir de nouvelles. L’approche de l’amélioration continue a fait ses preuves dans plusieurs secteurs d’activité pour élaborer et mettre en application des solutions novatrices ou évolutives. En plus de capitaliser sur la rigueur dans l’analyse des situations et la recherche de solutions, elle s’appuie sur la contribution indispensable des intervenants concernés.

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Professeur retraité en gestion à l’UQO, où il a été professeur de 1980 à 2011. Ses recherches et son enseignement sont reliés à la gestion du changement, aux pratiques de gestion efficaces et à l’évolution des organisations dans la conjoncture contemporaine. Il s’intéresse aux défis de gestion de la transition et à l’efficacité des organisations en contexte de turbulence. Il a accompagné plusieurs équipes de direction dans la poursuite de la performance.

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Cette conférence s’adresse aux personnes enseignantes qui cherchent à soutenir le développement de la pensée mathématique d’enfants à l’éducation préscolaire ou d’élèves du primaire. Elle porte sur les causeries mathématiques, un dispositif d’enseignement-apprentissage des mathématiques qui met l’accent sur l’utilisation, par les élèves, d’une diversité de stratégies lors de discussions en groupe autour d’un déclencheur (souvent imagé) et d’une question ouverte. L'écoute de cette conférence, dans laquelle seront présentés plusieurs exemples concrets de déclencheurs, amènera à en apprendre davantage sur les fondements et les caractéristiques de ce dispositif. Elle risque fort de donner envie de piloter des séances de causeries mathématiques en classe ! Qui est prêt.e à plonger au cœur d’un changement porteur dans son enseignement-apprentissage des mathématiques ?

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Enseignant au primaire de formation, Vincent Martin est maintenant professeur agrégé à la Faculté d’éducation de l’Université de Sherbrooke, où il participe activement à la formation en didactique des mathématiques des personnes futures enseignantes de l’éducation préscolaire et de l’enseignement primaire. Spécialiste de la didactique des mathématiques, ses champs d’intérêt en recherche concernent notamment l’apprentissage et l’enseignement des probabilités à l’école primaire.

Enseignante au primaire de formation, Anabelle Morin a réalisé une maitrise en éducation (concentration orthopédagogie) dans laquelle elle s'est intéressée à l'impact des causes mathématiques sur le développement du raisonnement multiplicatif chez les élèves du 2e cycle du primaire. Aujourd'hui, elle est orthopédagogue au primaire et elle accompagne des élèves qui rencontrent des difficultés, en plus de s'intéresser au travail collaboratif entre orthopédagogue et personne enseignante.

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Pour soutenir l’apprentissage des élèves, il est nécessaire de multiplier les portes d’entrée et d’offrir une diversité de moyens d’actions et d’expression (CAST, 2011). En ce sens, l’intégration du mouvement apparaît comme une stratégie prometteuse puisque l’expérience motrice permet d’offrir aux élèves une perspective riche sur le plan sensoriel (Paquette et Coderet, 2018). Des études ont d’ailleurs révélé l’efficacité des activités physiques et motrices pour travailler les apprentissages scolaires (Goh et coll., 2016). L’objectif de cette conférence est de présenter trois initiatives ancrées dans un processus de recherche en lien avec l’intégration du mouvement pour soutenir l’apprentissage des élèves. La première initiative concerne la mise en œuvre d’interventions orthopédagogiques en plein air. La deuxième initiative vise à présenter les potentialités du mouvement dans le contexte d’intervention en sous-groupe d’élèves ayant des difficultés d’apprentissage. La troisième initiative concerne l’utilisation de la médiation pédagogique en contexte de sports-études pour soutenir le développement de la métacognition. À l’issue de cette présentation, les personnes participantes pourront en savoir plus sur les bienfaits de l’intégration du mouvement pour soutenir les apprentissages, tout en ayant des moyens concrets pour le faire en classe et en orthopédagogie.

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Élisabeth Boily est professeure au département des sciences de l’éducation de l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle a également été orthopédagogue-conseil au Centre de services scolaire des Rives-du-Saguenay. Elle détient un doctorat en éducation et ses travaux de recherche portent sur l’organisation des services en orthopédagogie, ainsi que sur le rôle de l’orthopédagogue. Plus récemment, elle s’intéresse à la mise en place de l’orthopédagogie en contexte extérieur.

Marie-Pierre Baron est professeure en enseignement en adaptation scolaire et sociale à l’Université du Québec à Chicoutimi. Elle détient une expertise en intervention psychopédagogique et orthopédagogique. Ses travaux, ancrés dans la réalité des milieux de pratique, s’intéressent à l’influence des différents déterminants sur le parcours scolaire et sur le soutien psychopédagogique à la réussite éducative des étudiants vivant avec des difficultés d’adaptation et d’apprentissage.

Anne-Sophie est orthopédagogue et étudiante à la maitrise en éducation à l'Université du Québec à Chicoutimi. Dans le cadre de ses travaux, elle s'intéresse à la médiation pédagogique dans le contexte d'enseignement de la danse pour soutenir le développement de la métacognition.

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Cette communication vise à présenter un portrait des perceptions d'élèves du secondaire vis-à-vis des pratiques de gestion de classe utilisées par leurs enseignants et à identifier les pratiques qui prédisent le mieux l'engagement (comportemental et émotionnel) et le rendement scolaire. Elle permettra de vulgariser de récents résultats de recherche qui offrent une incursion inédite dans l’univers de la gestion de classe au secondaire à travers le regard des élèves. Les participants pourront ainsi mieux comprendre les relations entre l’utilisation de pratiques de gestion de classe proactives et réactives, les comportements d'engagement des élèves et leur réussite à l’école secondaire. Ils pourront ainsi réfléchir à leurs propres pratiques et s’outiller à intervenir efficacement auprès des groupes d’élèves qui leur sont confiés. Plusieurs recommandations et pistes d’intervention seront proposées afin d’aider les participants à faire face aux défis quotidiens liés à la gestion de classe au secondaire.

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Détenteur d’un doctorat en psychopédagogie enseignant au secondaire de formation, Vincent Bernier est actuellement professeur au département de didactique de l’Université du Québec à Montréal. Ses intérêts de recherche portent sur les pratiques de gestion de classe ainsi que sur les perceptions des élèves vis-à-vis de celles-ci. Pour plus d'informations : https://professeurs.uqam.ca/professeur/bernier.vincent/

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Cette formation vous invite à démystifier la poésie et à découvrir pourquoi elle nous semble parfois intimidante. Vous apprendrez à planifier une séquence d'enseignement captivante, en intégrant des stratégies clés pour introduire ce genre littéraire à vos élèves. En vous plaçant en position d'auteur.rice, vous explorerez comment se développe la voix de poète. Il sera aussi question de l'importance de la lecture à voix haute pour rendre la poésie vivante et engageante. Repartez avec des idées concrètes et prêtes à l'emploi pour envoûter vos élèves et leur faire goûter aux rythmes et à la musicalité de la poésie.

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Cancer ascendant scorpion, hypersensible ascendant ambitieux. À sa sortie du cégep, Julien a plongé dans l’enseignement au primaire pendant une dizaine d'année puis s'est lancé ensuite dans la conseillance pédagogique. Bibliophage, auteur jeunesse et collaborateur au blogue J'enseigne avec la littérature jeunesse, il devient avec les années un lecteur-leader passionné et souhaite transmettre son intérêt aux différentes générations qu’il côtoie.

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In this presentation, we will review results from a recent study of novice teachers with poor executive function (EF) skills as they completed their first practicum placements. Characterized by high levels of stress, frequent troubles, and poor management strategies, novice teachers with poor EF struggled through their first practicum placement. Education programs and teacher-mentor programs should understand that when pre-service teachers feel overwhelmed during their early years, their teaching practice might suffer and they may be at risk of leaving the profession early. Fortunately, working memory overload is somewhat of a temporary problem. As young adults fully develop their pre-frontal cortex and as practiced behaviours become automatized, working memory is available to focus on a wider variety of considerations. From a cognitive perspective, teaching is a complex set of skills that will take years to develop competence. In the meantime, education programs should understand the differential impact of EF on teaching practice and provide deliberate supports for everyone, especially those with poor EF. Implications for education programs and professional mentorship approaches are included.

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Dr. Jeffrey MacCormack is an associate professor of Educational Psychology and Inclusion at the University of Lethbridge, Faculty of Education. He taught in a specialized classroom for students with multiple and profound disabilities. As a former classroom teacher, Dr. MacCormack's research on after-school programs, executive functions, social competence, and play-based learning is informed by 10 years of experience teaching elementary students and many years of teaching post-secondary adul

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Join us as Dr. Jody Carrington draws from her books Feeling Seen and Teachers These Days to explore the transformative power of genuine connection and the profound role of educators in our world today. In this talk, Dr. Jody delves into what it means to feel truly seen and how this fundamental need shapes not only our personal relationships but also our educational environments. Celebrating the transformative role of teachers, Dr. Jody illuminates the impact of teaching with empathy, courage, and commitment amidst a disconnected world. By blending inspiring stories with practical strategies, she empowers audiences to recognize their invaluable role in shaping compassionate, resilient future generations. Attendees will leave with renewed inspiration to foster connection, resilience, and a deep understanding of the enduring influence educators have in rebuilding a stronger, more empathetic education system and community.

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Dr. Jody Carrington is a renowned psychologist sought after for her expertise, energy, and approach to helping people solve their most complex human-centered challenges. Jody focuses much of her work around reconnection – the key to healthy relationships and productive teams. As a bestselling author, speaker, and leader of Carrington & Company, Jody uses humour, and all she has learned in her twenty-year career as a psychologist to empower everyone she connects with. In her latest book, Feeling Seen, she dives into what it takes to reconnect a disconnected world. Jody’s message is as simple as it is complex: we are wired to do the hard things, but we were never meant to do any of this alone.

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Depuis un certain temps, on entend souvent parler d’écoles à l’extérieur des murs, d’éducation à ciel ouvert, de classes extérieures, d’éducation par la nature… Le concept d'éducation en plein air gagne en popularité, mais qu'est-ce que cela implique vraiment? Ce panel se penchera sur les différentes facettes de cette approche éducative et explorera les nombreux bénéfices qu'elle offre, particulièrement pour les élèves ayant des défis d'apprentissage. En brisant les frontières de l'enseignement traditionnel, l'éducation en plein air propose des approches pédagogiques novatrices. Ce panel abordera donc les défis logistiques, tels que la planification et l'organisation, et partagera des exemples concrets de classes et d'écoles qui ont réussi à surmonter ces obstacles. Les participants repartiront avec des conseils pratiques pour intégrer l'éducation en plein air dans leur propre pratique pédagogique.

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Jean-Philippe Ayotte Beaudet est professeur d'université et titulaire de la Chaire de recherche sur l'éducation en plein air de l’Université de Sherbrooke

Marika Perrault est enseignante de mathématiques au secondaire

Geneviève Bergeron est professeure au département des sciences de l'éducation à l’UQTR et cotitulaire de la Chaire «Éducation par la nature et territoire apprenant »

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Souvent négligé dans les salles de classe, l'enseignement du vocabulaire est pourtant essentiel au développement des compétences linguistiques des élèves. Ce panel s'interrogera sur les raisons pour lesquelles le vocabulaire est souvent relégué au second plan et explorera les moyens de démystifier les concepts liés au vocabulaire, au langage, et au lexique pour les enseignants. Doit-on enseigner le vocabulaire principalement à l'oral ou à l'écrit? Quelle place devrait occuper cet enseignement dans nos pratiques pédagogiques, et pourquoi est-ce si crucial? Les panélistes partageront des stratégies concrètes pour intégrer l'enseignement du vocabulaire dans la routine scolaire sans alourdir la charge de travail des enseignants, permettant ainsi aux élèves de développer un langage riche et diversifié.

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Rachel Berthiaume est professeure à la Faculté des sciences de l'éducation de l'Université de Montréal

Dominic Anctil est professeur en didactique du français à l'Université de Montréal

Caroline Côté est orthopédagogue à l’école spécialisée Vanguard

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En s'appuyant sur plusieurs études d'imagerie cérébrale, cette conférence propose un aperçu des recherches portant sur les particularités cérébrales des élèves qui présentent un trouble d'apprentissage comme la dyslexie, la dyscalculie et le trouble déficitaire de l’attention. Ces recherches nous apprennent non seulement que le cerveau des élèves ayant un trouble d’apprentissage est différent de celui des élèves typiques, mais aussi que certaines interventions pédagogiques peuvent mener à des changements significatifs dans le cerveau de ces élèves.

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Steve Masson est professeur à l’UQAM et codirecteur du Laboratoire de recherche en neuroéducation. À l'aide de l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle, il étudie les mécanismes cérébraux liés aux apprentissages et à l'enseignement. Il est l'auteur des livres « Activer ses neurones : pour mieux apprendre et enseigner » et « Développer des compétences : comment mieux utiliser son cerveau ».

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La conférence vise à enrichir la réflexion des professionnels de l’éducation en ce qui a trait à l’enseignement de la lecture. D’une part, nous tenterons de démystifier les moyens qui nous permettent d’évaluer efficacement la lecture chez les élèves du primaire et du secondaire sans miner le développement du plaisir de lire. De l’autre, nous expliciterons comment présenter une tâche de lecture qui présente différents niveaux de difficulté afin de répondre aux besoins de tous nos élèves. Enfin, nous ferons le pont entre la recherche en didactique et le quotidien en classe. Exemples concrets et discussions seront au rendez-vous !

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Rosalie Meloche-Dumas est enseignante de français au secondaire depuis quelques années. Titulaire d'un baccalauréat en enseignement du français et d'une maitrise en didactique, elle enseigne au deuxième cycle du secondaire ainsi qu'aux futur.e.s enseignant.e.s de français à l'université. Sa passion pour l'école l'a également menée à s'impliquer au sein de l'AQPF et à lancer le balado "L'école, c'est nous" qui vise à revaloriser la profession enseignante.

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Stress, anxiété de performance, émotions, fatigue, comportements dérangeants, gestion de classe, ça vous dit quelque chose ? Comment gérer tout cela, ce qui vient du jeune et ce qui vient de soi ? Certains enjeux personnels et relationnels peuvent alimenter les difficultés de gestion de classe. Ainsi, prendre conscience de ce qui se passe en soi et en groupe dans une perspective intersubjective, peut contribuer à améliorer le fonctionnement du groupe. Prendre soin de soi permet de mieux prendre soin des autres avec empathie et bienveillance. Je vous invite à venir passer un moment ensemble pour cibler vos besoins et découvrir des stratégies pour garder le cap sur soi et mieux gérer.

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Psychologue et auteure de plusieurs livres dont « 10 questions sur l’anxiété de performance », psychothérapeute d'enfant, adolescents, adultes, couples et familles depuis plus de vingt-cinq ans. Chargée de cours à l’Université Laval pendant plus de 15 ans, elle se consacre maintenant à transmettre son bagage sur le bien-être de diverses façons : formation, médias, écriture, supervision individuelle et de groupe.

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Comment aider un élève avec peu de conscience de soi à comprendre qu’il peut progresser? Comment rétroagir sur les comportements difficiles sans diminuer la relation pédagogique? Comment nommer une attente sans créer de la résistance chez l'élève? Cet atelier propose quelques dimensions de la pédagogie flexible pour permettre aux participants d'explorer plusieurs moyens visant à soutenir la motivation de leurs élèves. Nous présenterons les éléments essentiels à prendre en compte lorsqu’on souhaite développer l'ouverture des élèves face aux rétroactions constructives et améliorer leur engagement face à la réussite éducative.

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Catherine Dalpé détient une maitrise en études littéraires et une maitrise en enseignement du français au secondaire. Cumulant diverses expériences en enseignement (cégep, francisation, RAC, FGA), elle occupe depuis 2016 un poste de conseillère pédagogique en FGA pour le Centre multiservice des Samares. Engagée dans le développement de son milieu, elle s'intéresse plus particulièrement aux méthodes d'enseignement qui prennent en compte l'aspect subjectif et émotionnel de l'apprentissage.

Catherine Faucher détient un brevet en enseignement du français. Elle cumule une dizaine d’années d’enseignement du français au secteur jeunes, années au cours desquelles elle est aussi enseignante-ressource pour les Élèves à besoin particulier au sein de milieux sociaux défavorisés et multiethniques. En 2016, elle joint le monde de l’éducation aux adultes et devient enseignante-orthopédagogue en FGA et FP. Elle consacre son engagement professionnel à favoriser l’inclusion et les pratiques unive

Eve-Line Landry est détentrice d’une maitrise en orientation et d’un baccalauréat multidisciplinaire (histoire, psychologie, communication, orientation). Elle a travaillé plusieurs années auprès de communautés autochtones, notamment pour favoriser la rétention scolaire et l’insertion socioprofessionnelle en contexte multiculturel. Depuis 2016, elle travaille comme agente de réadaptation au Centre multiservices des Samares et participe activement au développement d’une culture apprenante.

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Le trouble développemental du langage (TDL) est un trouble invisible mais fréquent, touchant la communication et l'apprentissage des jeunes. Cette conférence a pour objectif de démystifier le TDL, en offrant aux intervenants, enseignants, et parents une compréhension claire de ce trouble, de ses manifestations, et de ses impacts sur le quotidien des enfants et adolescents. J’explorerai comment détecter les signes du TDL en classe et à la maison, tels que les difficultés à comprendre et à utiliser le langage, les erreurs de prononciation persistantes, ou encore les problèmes pour raconter une histoire. Vous apprendrez à reconnaître ces indicateurs pour mieux cibler les besoins des jeunes. Ensemble, nous découvrirons des stratégies concrètes et des outils efficaces pour soutenir les jeunes avec un TDL : des approches pour simplifier les consignes, favoriser l’expression orale, et encourager l’estime de soi. Des ressources pour collaborer avec des spécialistes, adapter les activités scolaires, et créer un environnement propice à l’épanouissement des jeunes seront également présentées. Rejoignez-moi pour cette conférence enrichissante et repartez avec des solutions pratiques pour transformer le quotidien des jeunes avec un TDL.

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Orthophoniste depuis près de 20 ans auprès d'adolescents et de jeunes en milieu scolaire et privé, Audrey développe des formations, des outils cliniques afin de permettre aux intervenants et aux enseignants d'offrir un meilleur accompagnement aux jeunes ayant un trouble de langage oral et écrit.

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Comparer des fractions et effectuer sur ces nombres les opérations de base reposaient traditionnellement sur des procédés techniques à automatiser : produit croisé, mise au dénominateur commun, transformation en fractions équivalentes, simplification au moyen du PGCD et algorithmes associés aux quatre opérations de base. Ce douloureux parcours abstrait a été écarté du programme québécois du primaire il y a presque cinquante ans pour prioritairement donner place à une démarche recourant au matériel ou à l'image. Mais qu'en est-il des ressources d'enseignement proposées depuis pour y parvenir avec nos élèves? Notre formation propose des outils éprouvés pour une démarche d’enseignement principalement fondée sur une approche visuelle et intuitive destinée aux élèves de 9 ans et plus : 1) Plier – Pertinence 2) Découper – Preuves visuelles 3) Plier et découper avec... les yeux – Comparaisons et opérations 4) Symbolisation dynamique des procédés Le visionnement préalable de la vidéo Introduction – Malaise fractionnaire qui se trouve au haut de la page https://videos.defimath.ca/#fractions nous permettra d’écourter les considérations philosophiques et théoriques au profil des activités pratiques prévues pour la plus importante portion de notre formation. Une exploration préalable sommaire de la page Planète Gripette – Réinventer les fractions est également suggérée.

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Mme Bisaillon est orthopédagogue de formation. Elle détient une maitrise et un doctorat en didactique des mathématiques. Elle a été chargée de cours pour l’Université de Montréal et l’Université de Sherbrooke pendant plus de 10 ans. Elle est aujourd’hui professeure adjointe à l’Université de Montréal. Elle s’intéresse à l’enseignement et à l’apprentissage des mathématiques auprès des élèves du primaire qui rencontrent des difficultés à les apprendre.

M. Lyons possède une maîtrise ès sciences en mathématiques de l’Université du Québec à Montréal. En plus d’être chargé de cours en didactique des mathématiques à l’Université de Sherbrooke, il est conseiller pédagogique en mathématiques à l’élémentaire. Il est l’auteur de plusieurs centres d’activités dont LOGIX, ARCHITEK et MYSTERO. Il s’intéresse à l’enseignement et l’apprentissage des mathématiques chez les élèves au primaire.

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Cet exposé comprend deux parties. La première présente les fonctions du suivi périodique des progrès réalisés par les élèves à l’école : a) l’élaboration d’un portrait de classe cumulatif pour mieux connaitre les élèves; b) le repérage des élèves à risque de rencontrer des difficultés d’apprentissage sévères à l’école et qui pourrait profiter d’un soutien supplémentaire; c) le soutien à la régulation de l’enseignement; d) le guidage des interventions préventives ou rééducatives auprès des élèves à risque; e) la vérification de l’effet réel des interventions préventives ou rééducatives et f) l’établissement d’un bilan annuel de l’efficacité du soutien apporté aux élèves. Dans la deuxième partie de l’exposé, nous expliquons sommairement comment élaborer l’instrumentation nécessaire pour assurer ces six fonctions. Nous abordons, à l’aide d’exemples : a) l’arrimage entre les cibles d’apprentissage et les habiletés que nous souhaitons évaluer; b) les composantes d’une épreuve de pistage (la tâche, la consigne, le choix des items, la cotation des réponses); c) l’administration des épreuves; et d) la représentation des résultats. En conclusion, nous avançons deux idées : a) il est difficile d’améliorer ce que nous ne mesurons pas; et b) le suivi des progrès des élèves est une opération essentielle dans l’établissement d’une école inclusive.

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Travaillant depuis 28 ans en éducation, Elisabeth a œuvré dans trois conseils scolaires de l’Ontario principalement en éducation spécialisée. D’abord comme enseignante, enseignante-ressource, conseillère pédagogique, direction adjointe au siège social d’un conseil et d’une école et maintenant comme directrice de l’École d’application au Consortium du Centre Jules-Léger. Depuis plusieurs années, elle accompagne le personnel enseignant dans les domaines de la littératie, de la numératie, de la communication.

Alain Desrochers a été professeur titulaire à l’Université d’Ottawa jusqu’en juillet 2017. Il a ensuite occupé le poste de directeur scientifique de l’Institut des troubles d’apprentissage jusqu’en janvier 2019. Il est, depuis 2011, professeur associé à l’Université du Québec à Montréal. Il détient un doctorat en psychologie expérimentale de l’Université Western Ontario avec une spécialisation en psycholinguistique et en méthodes quantitatives. Il dirige toujours le Groupe de recherche sur l’apprentissage de la lecture (GRAL). Son expertise professionnelle porte sur l’évolution historique de l’écriture du français, l’analyse linguistique du français pour des fins didactiques, l’élaboration de matériels didactiques pour l’enseignement de la lecture-écriture, les modèles d’apprentissage de la lecture-écriture, les modèles d’enseignement de la lecture-écriture, l’élaboration d’épreuves standardisées pour évaluer les compétences en lecture-écriture du français, l’étude longitudinale du développement des habiletés en lecture-écriture chez l’enfant et chez l’adulte illettré ou semi-lettré et l’évaluation des difficultés d’apprentissage de la lecture-écriture.

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Les diagnostics de troubles psychiatriques, du comportement ou d’apprentissage sont en croissance chez les enfants et les élèves du primaire. Bien que ce soient les médecins qui posent les diagnostics, l’initiation du processus et la quête diagnostique qui surviennent en amont impliquent toujours les parents et souvent les membres du personnel scolaire. Le but de la conférence est de réfléchir au recours au diagnostic chez les élèves du primaire et à ses impacts pour l’école, la famille et les enfants à partir d’une perspective sociologique. Cette réflexion sera alimentée par mes travaux de recherche sur la médicalisation durant l’enfance, où j’ai pu mener des entretiens avec des membres du personnel scolaire, des mères et des enfants, afin de comprendre leur expérience. Je présenterai d’abord la perspective sociologique sur le diagnostic et le processus de médicalisation. Ensuite, je montrerai les sources de tensions qui émergent dans la relation école-famille sur la question des diagnostics et quelles sont les raisons et les conséquences de ce recours tant pour l’école, la famille et les enfants.

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Titulaire de la Chaire de recherche Antoine-Turmel sur la sociologie historique de l’enfance et de la famille, je mène des travaux de recherche sur le processus de médicalisation durant l’enfance, notamment pour en comprendre les déclencheurs et ses impacts sur les enfants, les parents et l’école. Je suis aussi reconnue pour le regard sociologique que je pose sur le trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité (TDA/H) et sa médication.

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Cette conférence vous permettra de découvrir la toute nouvelle trousse pédagogique dédiée à la littératie en rétroaction. Cette trousse est le résultat d’un chantier collaboratif au sein du RÉCIT (Réseau Éducation Collaboration Innovation Technologie). Vous y trouverez des ressources variées comme des vidéos et des activités interactives pour les élèves et un guide pédagogique pour accompagner la personne enseignante dans le pilotage des activités proposées. Vous repartirez avec des outils pédagogiques et numériques innovants pour optimiser la compréhension des rétroactions reçues et offertes pour des apprentissages plus profonds.

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Membre de l’équipe du RÉCIT MST, Geneviève Trudel a d'abord œuvré comme enseignante de science au secondaire, puis a intégré le service local du RÉCIT du CSS des Hautes-Rivières en 2019. Passionnée par le numérique, elle s'est investie dans l'enseignement, l’apprentissage et l'évaluation des apprentissages en contexte virtuel. Elle croit en la puissance de la collaboration et de l'utilisation du numérique pour l'innovation et la créativité.

De scientifique à pédagogue passionnée, Johanne Proulx a toujours été animée par le désir de transmettre ses connaissances. Après avoir expérimenté diverses approches pédagogiques, elle a rejoint le service national du RÉCIT MST en 2021 pour partager son expertise avec un plus large public. Son parcours témoigne de l'importance de la passion, de l'innovation et de la bienveillance dans l'enseignement des sciences.

Depuis 2007, Sandra Laine œuvre au RÉCIT pour soutenir les enseignants d'anglais langue seconde dans leur pratique pédagogique. Reconnue pour son expertise et son engagement, elle a reçu le prix Keith Boeckner en 2019. En tant que responsable du développement des compétences numériques, elle accompagne les enseignants dans l'intégration des technologies en classe pour favoriser l'apprentissage des langues.

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Plusieurs contenus lexicaux sont présentés dans la Progression des apprentissages, comme les différents principes de formation des mots, les relations lexicales ou d’autres propriétés des mots. Ces contenus visent à amener les élèves à mieux comprendre le fonctionnement du système lexical afin de mieux organiser leur lexique mental et de mobiliser plus efficacement leur vocabulaire dans différents contextes. Mais quels contenus lexicaux à enseigner au primaire ont une réelle implication dans le développement des élèves en écriture ? La synonymie, la cooccurrence et les champs lexicaux sont des contenus qui, lorsqu’explicités, permettent aux élèves d’améliorer leurs textes par l’emploi d’un vocabulaire plus juste et plus varié et une plus grande souplesse énonciative. En quoi consistent exactement ces contenus et comment les présenter en classe ? Quelles œuvres de littérature jeunesse les mettent en évidence ? Dans le cadre de quelles activités authentiques et inclusives des liens peuvent-ils être tissés entre ces contenus et la production de textes ? En plus de proposer des idées pour accompagner les élèves dans l’appropriation et le réinvestissement de ces contenus lexicaux dans la planification, l’écriture et la révision de leurs textes, différentes ressources (dictionnaire en ligne ou papier) seront proposées.

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Dominic Anctil est professeur au Département de didactique de la Faculté des sciences de l’éducation de l’Université de Montréal, où il enseigne la didactique du français aux futurs enseignants du primaire. Ses travaux portent sur l’apprentissage du vocabulaire en lecture et l’erreur lexicale en production écrite. Il anime de nombreux ateliers de formation continue et publie des chroniques lexicales dans des revues professionnelles.

Caroline Proulx est docteure en éducation et chargée de cours au Département de didactique de l’Université de Montréal. Ses travaux de recherche portent sur la didactique du lexique au préscolaire et au primaire. Elle a été plus de 18 ans enseignante au primaire.

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La valorisation de la diversité prend de plus en plus de place dans nos sociétés. Les personnes enseignantes sont notamment appelées à prendre en compte et valoriser la diversité. Or, des études récentes révèlent que, malgré ces bonnes intentions, certaines façons de penser et de faire l'inclusion lui font obstacle ou concourent à des processus d’exclusion menant à plus d’inégalités. En première partie, nous proposerons une réflexion critique sur le concept de besoins et le flou généré par les nombreuses façons de voir et de faire qui coexistent. À partir d’une analyse d’écrits, nous mettrons en évidence différentes perspectives ainsi que deux grands lieux de tensions et de risques dans l’interprétation de la notion de besoin. Nous en dégagerons des pistes pour agir avec prudence. En deuxième partie, à partir des approches actuellement prisées en éducation inclusive (conception universelle des apprentissages, modèle réponse à l’intervention et différenciation pédagogique), nous allons mettre en évidence certains écueils qui peuvent se manifester sur le terrain. C’est sur la base de ces écueils que nous décrirons des points de vigilance. Ils peuvent servir à la réflexion critique et à éclairer certains choix d’action, sans tomber dans le piège des propositions pédagogiques « techniques » qui mènerait à une mise en œuvre superficielle de l’éducation inclusive.

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Titulaire d’un doctorat en éducation, Léna Bergeron est enseignante de formation et professeure à l'UQTR. en apprentissage, enseignement et formation pratique. Ses recherches portent sur la planification de l’enseignement et la prise en compte de la diversité en salle de classe. Elle est codirectrice du Lab-RD2 et elle est membre du RÉVERBÈRE et du LISIS.

Geneviève Bergeron est professeure titulaire au Département des sciences de l’éducation de l’UQTR. Chercheuse au LISIS et au RÉVERBÈRE, ses travaux portent principalement sur les modalités pédagogiques et de gestion de classe permettant de soutenir l’apprentissage de tous les élèves en classe ordinaire. Ses intérêts concernent aussi l’intervention éducative par la nature et l’aventure.

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In these two sessions, we will look at some curricular planning approaches that allow us to design for a range of diversity using grade level curriculum. We will see examples of how we can use curriculum in flexible ways to support success and growth for all students, while targeting self-determination and agency. Then, we will dig into how we can use curricular mapping to support students to self-assess, as well as give feedback to and evaluate student evidence of learning that reflect grade level standards.

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Based in Vancouver, British Columbia, Dr. Shelley Moore is a highly sought-after inclusive education researcher, collaborator, consultant and storyteller, and has worked with school districts and community organizations throughout Canada and the United States. Her research has been featured at international conferences including the Council of Exceptional Children (CEC), the International Reading Association (IRA), the National Council of Teachers of English (NCTE), The American Education Research Association (AERA), and the Canadian Society for Studies in Education (CSSE). Shelley completed her undergraduate degree in Special Education at the University of Alberta, her masters at Simon Fraser University, and her Ph.D. at the University of British Columbia.

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Dans cette présentation, nous allons explorer le développement des habiletés pragmatiques et discursives des élèves tout au long de leur parcours scolaire entre le préscolaire et la transition de l’école vers la vie adulte. Les spécificités des développements atypiques seront également abordées. Une attention particulière sera portée aux impacts que les habilités langagières et communicatives peuvent avoir sur les différents aspects de la participation sociale et la réussite scolaire des élèves. Des pistes de réflexions pour l’observation et le soutien de habiletés à utiliser le langage seront proposées au cours de la présentation dans une option d’inclusivité.

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Stefano Rezzonico est professeur agrégé à l’École d’orthophonie et d’audiologie de l’Université de Montréal et chercheur au Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation du Montréal métropolitain. Responsable du Créneau Communication et cognition de l’Institut universitaire sur la réadaptation en déficience physique de Montréal du CIUSSS du Centre-Sud de l’île de Montréal, ses intérêts de recherche portent sur l’utilisation du langage dans différents contextes de vie.

Marylène Dionne est orthophoniste et chargée de clinique à l’École d’orthophonie et d’audiologie de l’Université de Montréal et professionnelle de la recherche au Centre de recherche interdisciplinaire en réadaptation du Montréal métropolitain. En juin 2024, elle a soutenu sa thèse de doctorat portant sur des interventions pour favoriser la pragmatique et la compétence sociale chez les enfants en milieu de garde éducative avec et sans TDL

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Le rapport à l'écrit (RÉ) tel que défini par plusieurs auteurs (Barré-de-Miniac, 2015 ; Chartrand et Prince, 2009, Dabène, 1991) s'inscrirait dans les compétences scripturales. En effet, l'écriture repose sur deux piliers : les outils ou les connaissances (i.e. la gestion de l’ensemble des composantes scripturales telles que le code de la langue, l’organisation textuelle, la situation de communication, etc.) et le rapport à l’écrit du scripteur (Barré-de-Miniac et Blaser, 2008). Ces deux catégories existent en corrélation l’une avec l’autre : les pratiques scripturales influencent le rapport à l’écrit, qui, à son tour, peut agir sur l’engagement du scripteur dans ses activités d’écriture, et donc, les processus (Barré-de-Miniac et Blaser, 2008). Après un tour d'horizon de ce concept, nous verrons comment il est possible d'intégrer certaines considérations en lien avec le RÉ dans les activités d'apprentissage en lecture et en écriture, et l'impact que cette prise en considération peut avoir sur les apprenants, particulièrement ceux qui sont considérés en difficulté. Et, comme les mots des enfants sont puissants, nous les laisserons parler pendant cette conférence, à partir d'extraits d'entrevues, afin de les laisser s'exprimer sur leur RÉ. Ils sont, après tout, les principaux les sujets.

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Laurence Bernard-Fontaine est une enseignante-orthopédagogue passionnée par le français! À la fin de son baccalauréat en enseignement primaire, elle s'est inscrite à une maîtrise avec mémoire en psychopédagogie - adaptation scolaire, ainsi qu'à un certificat en sciences du langage. Pendant ses études, elle a maintenu un pied dans les écoles, parfois à titre d'enseignante, parfois à titre d'orthopédagogue, aussi bien dans le milieu régulier qu’en adaptation scolaire.

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Au cours de cet atelier, vous aurez l’occasion d’utiliser divers outils numériques qui permettront à vos élèves de stimuler leur motivation et leur engagement à écrire. L’intégration du numérique dans une classe de français offre de nombreuses occasions d’apprendre autrement et de développer les compétences des élèves tout au long du processus d’écriture. Venez découvrir comment le numérique peut rendre le parcours du scripteur plus dynamique!

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J'ai intégré l’équipe du Service national du RÉCIT, Domaine des langues en février 2019. Ayant enseigné en adaptation scolaire pendant 15 ans, je suis devenue conseillère pédagogique à la CSSMV en 2016. Ces années en conseillance pédagogique m'ont permis de développer mes habiletés à accompagner à l’aide de pratiques réflexives menant au changement. Je crois fortement que l’intégration du numérique permet de soutenir la réussite scolaire de tous les élèves.

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Comment soutenir la persévérance des élèves vers la réussite? Grande question pour les intervenants du 2e cycle du secondaire surtout quand le parcours n'est pas "classique". Et que dire de ceux qui accompagnent la grande clientèle des 16-24 ans en formation générale des adultes! Une recherche sur les pratiques de gestion de directions qui peuvent favoriser la réussite et la persévérance se poursuit. Quelles sont vos préoccupations à cet égard (identifiez-en une particulièrement). Aujourd'hui, nous nous attarderons sur le 2e cycle du secondaire et la formation générale des adultes. Des directions et leur équipe ont déployé avec audace des initiatives innovantes "essentielles pour les uns et bonnes pour tous"! Je vous les partagerai et solliciterez votre participation. Au plaisir de vous rencontrer!

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Professeure-chercheure agrégée au Département de gestion de l’éducation et de la formation à l’Université de Sherbrooke, Jocelyne Chevrier a occupé durant 20 ans la fonction de directrice d’établissements scolaires accueillant des classes pour des élèves à besoins particuliers. Ses intérêts de recherche concernent les pratiques de gestion des directions d’établissements qui favorisent la réussite, les mesures de soutien aux apprentissages, la gestion du changement et l'insertion professionnelle

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Les cibles d’apprentissage visés par cette session - Se rendre compte de l’influence de la culture sur une école et l’amélioration des élèves ; - Comprendre pourquoi il est essentiel de créer une intention du cœur au développement des valeurs, d’une vision, et d’un but partagés ; - Prévoir et se préparer pour les défis inhérents dans le inhérents dans le processus de transformation de la culture ; - Se familiariser avec les corrélats des écoles efficaces ; - Réfléchir aux changements de mentalité qu’il faut pour favoriser la transformation de la culture ; - Déterminer l’implication du personnel dans l’élaboration du projet éducatif de l’école ; - Identifier le rôle de l’équipe de leadership en transformant la culture de l’école.

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M. Massé a entrepris sa carrière à titre d’enseignant dans les écoles de langue française en Ontario en 1988. Depuis 1998, il a occupé des postes de gestion, passant de directeur d’école à surintendant de l’éducation au Conseil des écoles catholiques du Centre-Est à Ottawa. François Massé a collaboré avec ces écoles à effectuer une transformation culturelle vers une communauté d’apprentissage professionnelle pendant plus de 30 ans. Il accompagne plus de 66 centres de services au Québec à ce jour.

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La transition entre le centre éducatif et l'école peut représenter un défi (habillage, transport, sommeil, routine). Cette conférence propose des stratégies simples pour soutenir l'autonomie des enfants ayant des défis et des besoins de soutien particuliers au quotidien. Les stratégies concrètes présentées favorisent l'inclusion des enfants tout en respectant leur développement et leur bien-être. Des outils pratiques seront proposés pour enrichir la pratique éducative et apprendre à les utiliser efficacement au quotidien. Les thèmes abordés incluent la préparation à l'intégration en milieux éducatifs, l'aménagement des espaces adaptés, ainsi que les stratégies d'adaptation et de communication pour favoriser un développement optimal. Des outils pédagogiques, comme les plans d'inclusion, des outils d'observation seront également présentés. Chaque enfant est unique. Pour un monde plus inclusif, il est essentiel de reconnaître et de valoriser cette diversité.

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Autrice et conférencière à l’international, elle collabore avec des familles ainsi que des professionnels de la santé de l’éducation pour favoriser la connaissance de soi, l’autonomie et l’inclusion des enfants. Désirant sensibiliser les enfants et normaliser les différences individuelles, elle s'investit dans plusieurs initiatives sociales. Ses expériences en tant qu’éducatrice spécialisée, gestionnaire et consultante en organisation l’ont incitée à réaliser des recherches doctorales.

Julie Huard est professeure en éducation spécialisée et en éducation à l’enfance. Elle a une formation en psychoéducation et en zoothérapie. Julie Huard est autrice de livres pédagogiques et spécialiste de contenu. Depuis plus de 20 ans, elle est intervenante spécialisée auprès des clientèles présentant des difficultés d’adaptation, des troubles de santé mentale ou des troubles neurodéveloppementaux.

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Cette présentation propose une expérience interactive qui explore la relation vitale (et souvent négligée) entre l'autisme et l'authenticité. Elle met en lumière le parcours d'une personne autiste qui navigue entre les attentes de la société tout en s'efforçant d'embrasser son identité unique. Au cours de cette session, Anne Gingras partage des anecdotes qu'elle a vécues et propose une série de stratégies concrètes destinées au personnel enseignant et aux autres professionnels qui soutiennent les personnes autistes. Les participants sont invités à prendre part à une discussion significative qui réitère l'importance de l'authenticité dans leur cheminement personnel. Elle encourage les éducateurs et les professionnels à repenser l'espace qu'ils laissent à l'authenticité dans leurs classes et les autres milieux qui accueillent les personnes autistes.

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Avec plus de trois décennies d'expérience dans l'éducation, Anne Gingras, femme autiste, a accumulé une vaste connaissance qui a touché d'innombrables vies, inspirant la croissance et le changement positif. Ses conférences mettent en lumière les enjeux des personnes atteintes de TSA, favorisant une meilleure compréhension et une plus grande empathie. L'université Nipissing lui a décerné un doctorat honorifique en éducation (honoris causa) en 2019 pour sa contribution au monde de l’éducation.

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Nous pouvons être fiers des progrès réalisés en adaptation scolaire depuis 50 ans. Néanmoins nous n’avons pas le droit d’être satisfaits lorsqu’à l’école publique, 23% des élèves du primaire et 33% de ceux du secondaire sont toujours identifiés en situation de handicap ou en difficulté. Nous pouvons pourtant, selon Égide Royer, être optimiste. L’optimisme est d’ailleurs pour lui davantage un muscle qu'une émotion. C’est une compétence cognitive qui aide les gens à rejeter le statu quo et à visualiser une voie meilleure. Après avoir fait un état des lieux de la réussite des jeunes à besoins particuliers, Égide Royer vous proposera dans cette conférence un « top 5 », une feuille de route, des pratiques nous permettant dès maintenant de faire une différence encore plus importante dans la réussite des jeunes plus vulnérables. Intervention précoce, premiers soins en santé mentale, soutien supplémentaire ciblé, prise en compte des défis différents des garçons et des filles, utilisation des pratiques exemplaires et émergentes, autant de mesures susceptibles de faire de la réussite de ces jeunes une réalité.

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Le Dr Égide Royer est psychologue et spécialiste de la réussite scolaire, tout spécialement de celle des jeunes en difficulté. Il est reconnu comme l’un des experts québécois en éducation, plus particulièrement en ce qui a trait aux interventions visant à prévenir l’échec scolaire et les problèmes d’adaptation à l’école.

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Les études scientifiques montrent que beaucoup du stress et de l’anxiété vécus par les enfants et les adolescents ont pour origine la peur d’être stressé.e. Puisque les médias et les réseaux sociaux ne discutent bien souvent que des effets négatifs et toxiques du stress, cela mène beaucoup de jeunes à devenir très anxieux lorsqu’ils ressentent une réponse biologique de stress (appelée la sensibilité à l’anxiété). Une conférence pour aider les professionnels de l’éducation à parler de stress et d’anxiété aux jeunes… sans leur faire peur !

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Sonia Lupien est titulaire de la Chaire de recherche du Canada sur le stress humain et est la fondatrice et directrice du Centre d’Études sur le stress humain qui a pour mission d’éduquer le public sur les effets du stress sur le cerveau et le corps en utilisant des données validées scientifiquement. Elle est également auteure de plusieurs livres dont Par amour du stress, À chacun son stress et son dernier livre Le stress au travail vs le stress du travail.

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L'enseignement traditionnel segmenté, où la lecture, l'écriture et l'oral sont traités séparément, peut parfois créer des obstacles pour les élèves, en particulier ceux ayant des difficultés d'apprentissage. Ce panel explorera l'approche intégrée, qui réunit ces compétences dans une seule démarche cohérente, facilitant ainsi l'apprentissage pour tous les élèves. Les panélistes expliqueront comment cette approche peut être mise en pratique concrètement en classe, et proposera des pistes d’utilisation de la littérature jeunesse, pouvant être un vecteur clé de motivation et d'engagement pour les élèves.

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Martine Arpin est enseignante, autrice et fondatrice du blogue pédagogique Les ateliers d’écriture au primaire

Emmanuelle Soucy est professeure de didactique du français, UQTR

Isabelle Montesinos-Gelet est professeure titulaire au Département de didactique de l’Université de Montréal

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Chaque année, le Québec accueille des milliers de nouveaux arrivants, et dans certains quartiers, les élèves issus de l'immigration représentent une large majorité de la population scolaire. Pourtant, bon nombre d'enseignants et de professionnels ne sont pas formés pour faire face à cette réalité complexe. Ce panel abordera les défis spécifiques auxquels ces élèves sont confrontés, tant au niveau de l'acquisition de la langue que des obstacles culturels et scolaires. Les panélistes exploreront des questions clés, comme l’impact de ces réalités sur la réussite scolaire, les bonnes pratiques pour soutenir ces élèves et comment les écoles peuvent s'organiser efficacement pour répondre à leurs besoins.

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Mathieu Labine-Daigneault est orthopédagogue, président et directeur général de L'Association des orthopédagogues du Québec

Catherine Gosselin-Lavoie est professeure au Département de didactique de l’Université de Montréal

Kristel El-Akouri est conseillère pédagogique et orthopédagogue à l’Institut des troubles d’apprentissage

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David Goudreault est romancier, poète et travailleur social. En plus de ses œuvres de poésie largement saluées et récompensées, David Goudreault a publié 5 romans, incluant sa trilogie de la bête (La bête à sa mère, La bête et sa cage, Abattre la bête), encensée par la critique et le public et, plus récemment, son polar intitulé Maple. En 2024, son nom a d’ailleurs été ajouté au dictionnaire Le Robert illustré, où il est présenté comme un « poète, écrivain, fervent défenseur de la langue française. » En alliant humour et poésie, David Goudreault célèbre la littérature comme outil de résilience et d'émancipation. Il explique comment utiliser la créativité avec des clientèles ayant diverses difficultés scolaires et sociales. Une période d'échange avec le public suivra la conférence.

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Poète, romancier et chroniqueur, David Goudreault est aussi travailleur social. Premier Québécois a remporté la Coupe du monde de poésie, il a publié cinq recueils de poèmes, ainsi que cinq romans. Il est présentement en tournée avec son second spectacle En marge du texte. Depuis près de dix ans, il anime des ateliers de création.

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